- | La promotion des logiciels libres à l'EPN d'Avoine
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Nom de l'action
La promotion des logiciels libres à l'EPN d'Avoine
Territoire concerné par l'action
- Local - bassin de vie de Chinon
Structures et acteurs impliqués
Réseau des Bibliothèques du Chinonais
Action toujours en cours ?
Oui
En quoi consiste l'action ?
Je suis responsable et animateur numérique dans un réseau de bibliothèques du territoire du Chinonais. J’exerce à l’Espace Public Numérique qui se trouve au sein de la médiathèque d’Avoine et je coordonne un autre EPN dans la bibliothèque de Chinon.
Dans ce cadre, je propose des programmations numériques pour tout public sur les deux EPN. Je forme également des collègues de la Communauté de communes aux outils bureautiques.
Enfin je gère tout le domaine numérique de l’EPN et de la bibliothèque : la gestion les liseuses, les tablettes tactiles, et le site internet des bibliothèques.
Les programmations tout public de l’EPN
Les ateliers sont ouverts au public et aux adhérents sans prérequis. On a des thématiques qui répondent à trois types d’actions du domaine numérique :
• Les animations qui permettent la découverte de la réalité virtuelle, de stop motion, de la vidéo, de la vidéo maping, de la programmation, du codage, etc.
• Les ateliers pour monter en compétences dans le numérique ; les pièges d’internet, la pollution numérique, utiliser les tablettes tactiles, les smartphones, les trucs et astuces d’internet, les QR, etc.
• Les FabLab (ateliers de fabrication) ; Ces sont des espaces de partages sur des connaissances numériques. On travaille sur l’impression et la modélisation 3D pour lesquelles on utilise principalement les logiciels libres.
Les logiciels libres
Une fois par an, l’EPN propose des « Install party ». Il s’agit d’une journée dédiée au remplacement de Windows par Linux sur les ordinateurs portables ou fixes. On met également en place des ateliers spécifiques aux logiciels libres, comme Gimp (retouches d’images), LibreOffice et d’autres logiciels libres.
Qu’est-ce qu’un logiciel libre ?
Un logiciel libre est un programme qui peut être librement utilisé, modifié et redistribué par les utilisateurs. Il dispose des critères propres qui le différencie d’un logiciel propriétaire, à savoir :
- L’accès à son code source :
Si on en a les compétences, on peut y découvrir son schéma de fabrication, le but pour lequel il a été conçu et s’assurer qu’il ne comporte pas de mouchards. Par exemple sur Libre Office, il est possible de vérifier que le logiciel ne sert qu’au traitement de texte
- Son adaptation
Il est possible de modifier le schéma de fabrication d’un logiciel libre pour l’adapter spécifiquement aux besoins des utilisateurs qu’ils soient une entreprise ou une personne. Sur Libre Office on peut rajouter ou retirer des fonctionnalités et diffuser le logiciel dans toute la Communauté de communes.
- Le partage gratuit et légal
Pourquoi promouvoir les logiciels libres dans un EPN ?
Promouvoir les logiciels libres émane d’une volonté de proposer des logiciels performants à tous et ce, sans conditions de moyens. Il y a donc une dimension économique et éthique.
En effet, la grande majorité des logiciels libres est gratuite : on peut acheter un ordinateur vide, y installer Linux gratuitement et l’équiper de logiciels libres. A l’échelle d’une famille, et surtout d’une collectivité, les économies réalisées sont considérables.
L’approche éthique réside dans le fait d’aller vers des alternatives aux valeurs collaboratives, d’entraide au lieu de cautionner l’hégémonie des grosses firmes comme Microsoft. A mon avis, le domaine numérique est un des seuls champs d’action dans lequel il existe des alternatives éthiques.
Enfin, dans un contexte de sobriété écologique le choix des logiciels libres est à privilégier puisqu’ils permettent de garder un ordinateur jugé dépassé par Windows.
Dans ce cadre, je propose des programmations numériques pour tout public sur les deux EPN. Je forme également des collègues de la Communauté de communes aux outils bureautiques.
Enfin je gère tout le domaine numérique de l’EPN et de la bibliothèque : la gestion les liseuses, les tablettes tactiles, et le site internet des bibliothèques.
Les programmations tout public de l’EPN
Les ateliers sont ouverts au public et aux adhérents sans prérequis. On a des thématiques qui répondent à trois types d’actions du domaine numérique :
• Les animations qui permettent la découverte de la réalité virtuelle, de stop motion, de la vidéo, de la vidéo maping, de la programmation, du codage, etc.
• Les ateliers pour monter en compétences dans le numérique ; les pièges d’internet, la pollution numérique, utiliser les tablettes tactiles, les smartphones, les trucs et astuces d’internet, les QR, etc.
• Les FabLab (ateliers de fabrication) ; Ces sont des espaces de partages sur des connaissances numériques. On travaille sur l’impression et la modélisation 3D pour lesquelles on utilise principalement les logiciels libres.
Les logiciels libres
Une fois par an, l’EPN propose des « Install party ». Il s’agit d’une journée dédiée au remplacement de Windows par Linux sur les ordinateurs portables ou fixes. On met également en place des ateliers spécifiques aux logiciels libres, comme Gimp (retouches d’images), LibreOffice et d’autres logiciels libres.
Qu’est-ce qu’un logiciel libre ?
Un logiciel libre est un programme qui peut être librement utilisé, modifié et redistribué par les utilisateurs. Il dispose des critères propres qui le différencie d’un logiciel propriétaire, à savoir :
- L’accès à son code source :
Si on en a les compétences, on peut y découvrir son schéma de fabrication, le but pour lequel il a été conçu et s’assurer qu’il ne comporte pas de mouchards. Par exemple sur Libre Office, il est possible de vérifier que le logiciel ne sert qu’au traitement de texte
- Son adaptation
Il est possible de modifier le schéma de fabrication d’un logiciel libre pour l’adapter spécifiquement aux besoins des utilisateurs qu’ils soient une entreprise ou une personne. Sur Libre Office on peut rajouter ou retirer des fonctionnalités et diffuser le logiciel dans toute la Communauté de communes.
- Le partage gratuit et légal
Pourquoi promouvoir les logiciels libres dans un EPN ?
Promouvoir les logiciels libres émane d’une volonté de proposer des logiciels performants à tous et ce, sans conditions de moyens. Il y a donc une dimension économique et éthique.
En effet, la grande majorité des logiciels libres est gratuite : on peut acheter un ordinateur vide, y installer Linux gratuitement et l’équiper de logiciels libres. A l’échelle d’une famille, et surtout d’une collectivité, les économies réalisées sont considérables.
L’approche éthique réside dans le fait d’aller vers des alternatives aux valeurs collaboratives, d’entraide au lieu de cautionner l’hégémonie des grosses firmes comme Microsoft. A mon avis, le domaine numérique est un des seuls champs d’action dans lequel il existe des alternatives éthiques.
Enfin, dans un contexte de sobriété écologique le choix des logiciels libres est à privilégier puisqu’ils permettent de garder un ordinateur jugé dépassé par Windows.
Quel en a été l'historique (origines, objectifs / intentions de départ, évolutions depuis le lancement, ...) ?
La volonté de mettre en place des ateliers de logiciels libres provient de ma sensibilité personnelle. J’utilise moi-même Linux depuis longtemps. Je suis un militant et, dans le cadre de mon travail, je transmets des valeurs d’éducation populaire. Je suis contre la division de deux mondes entre ceux qui ont les moyens de s’équiper en informatique et ceux qui n’en ont pas.
A mon niveau, je permets au plus grand nombre d’accéder à la même qualité numérique et populariser toutes les alternatives peu connues.
A mon niveau, je permets au plus grand nombre d’accéder à la même qualité numérique et populariser toutes les alternatives peu connues.
Quelles ont été les difficultés ou les limites observées
Linux a, malgré tout, ses limites notamment dans la compatibilité des jeux vidéo. Les éditeurs de jeux vidéo ne font pas de jeux pour Linux étant donné que 99% des ordinateurs sont sous Windows. Ce qui constitue un frein non négligeable.
Et puis on lutte complètement à contre-courant puisque l’achat d’un ordinateur est subordonné à l’achat de Windows. Demander à une personne de renoncer au système qu’elle a indirectement acquis avec l’ordinateur pour le remplacer par Linux, s’avère délicat. D’autant plus que, Linux étant peu connu, les gens pensent que ce doit être une configuration réservée aux informaticiens.
Le plus grand défi est de combattre le » formatage » des esprits, la considération négative qu’on porte, à tort et par méconnaissance, sur les versions libres des logiciels.
Et puis on lutte complètement à contre-courant puisque l’achat d’un ordinateur est subordonné à l’achat de Windows. Demander à une personne de renoncer au système qu’elle a indirectement acquis avec l’ordinateur pour le remplacer par Linux, s’avère délicat. D’autant plus que, Linux étant peu connu, les gens pensent que ce doit être une configuration réservée aux informaticiens.
Le plus grand défi est de combattre le » formatage » des esprits, la considération négative qu’on porte, à tort et par méconnaissance, sur les versions libres des logiciels.
Qu'est-ce qui a marché ? Quels en sont les enseignements ? Quelles perspectives pour la suite?
Les gens, habitués aux logiciels de référence, peinent à croire qu’un produit gratuit puisse être l’équivalent d’un produit payant.
Il y a donc une démarche d’information et de pédagogie envers le public. La première étape est de prouver aux gens que leurs ordinateurs fonctionnent très bien contrairement à ce que leur fait croire Windows. La deuxième est de leur montrer que Linux est beaucoup plus simple d’utilisation que Windows ; pas de mise à jour, pas de maintenance, pas d’attaques virales.
Dès lors que le public est bien informé il accueille avec confiance le changement. Malgré tout, l’accompagnement à l’installation et à la configuration du système reste primordial si on veut que les gens emploient les logiciels libres de façon définitive. Dans la majorité des cas « essayer les logiciels libres c’est les adopter ».
Les perspectives pour la suite
On tient à pérenniser l’information et la transmission sur les logiciels libres.
Personnellement en qualité d’animateur, je me suis spécialisé dans la pédagogie en me servant du multimédia comme support de transmissions de valeurs éthiques. En effet de vastes champs du numérique sont encore à développer tels que l’écologie et la santé. Il faut donc poursuivre la sensibilisation sur la surconsommation, le gâchis, la place des écrans dans notre société, la sobriété numérique, etc.
Merci à Franck Clément
Responsable et animateur numérique du Réseau ds bibliothèques du Chinonais
Il y a donc une démarche d’information et de pédagogie envers le public. La première étape est de prouver aux gens que leurs ordinateurs fonctionnent très bien contrairement à ce que leur fait croire Windows. La deuxième est de leur montrer que Linux est beaucoup plus simple d’utilisation que Windows ; pas de mise à jour, pas de maintenance, pas d’attaques virales.
Dès lors que le public est bien informé il accueille avec confiance le changement. Malgré tout, l’accompagnement à l’installation et à la configuration du système reste primordial si on veut que les gens emploient les logiciels libres de façon définitive. Dans la majorité des cas « essayer les logiciels libres c’est les adopter ».
Les perspectives pour la suite
On tient à pérenniser l’information et la transmission sur les logiciels libres.
Personnellement en qualité d’animateur, je me suis spécialisé dans la pédagogie en me servant du multimédia comme support de transmissions de valeurs éthiques. En effet de vastes champs du numérique sont encore à développer tels que l’écologie et la santé. Il faut donc poursuivre la sensibilisation sur la surconsommation, le gâchis, la place des écrans dans notre société, la sobriété numérique, etc.
Merci à Franck Clément
Responsable et animateur numérique du Réseau ds bibliothèques du Chinonais
Ressources : personnes, adresses, sites web, images . . .
Sites web :
Espace d'accueil, de discussions, et déchanges autour du logiciel libre
Programmation numérique des EPN d'Avoine et de Chinon
Facebook : actualités du réseau des bibliothèques du Chinonais
Contact :
Franck CLEMENT
à la médiathèque du Véron
04 47 98 19 19
Espace d'accueil, de discussions, et déchanges autour du logiciel libre
Programmation numérique des EPN d'Avoine et de Chinon
Facebook : actualités du réseau des bibliothèques du Chinonais
Contact :
Franck CLEMENT
à la médiathèque du Véron
04 47 98 19 19
Auteur.ices de la fiche
Assia Lazar
- | Le métier de Conseiller Numérique France Services
- | Le métier de Conseiller Numérique France Services
Nom de l'action
Le métier de Conseiller Numérique France Services
Territoire concerné par l'action
- Local - bassin de vie de Loches
Structures et acteurs impliqués
France Services de la Communauté de communes de Loches Sud Touraine
Action toujours en cours ?
Oui
En quoi consiste l'action ?
Le métier de Conseiller Numérique
Les Conseillers Numériques France Services, missionnés par la Communauté de Communes de Loches Sud Touraine (CCLST) interviennent sur 60 communes. Un collègue de l’association Puzzle travaille sur les 7 autres communes.
Le choix a été fait de diviser les 67 communes en secteurs : les interventions se font sur 16 communes afin de pouvoir avoir des actions de proximité et ainsi, être au plus près des usagers.
La CCLST porte 3 France Services : Loches, Ligueil, Descartes et les antennes du Grand Pressigny et de Preuilly sur Claise. Le groupe La Poste porte la quatrième France Services à Montrésor.
Les Conseillers Numériques France Services ont pour objectifs de réduire la fracture numérique et d’accompagner les personnes en décalage avec le numérique.
On propose des ateliers :
- Avec une thématique ; on aborde les sujets identifiés comme étant importants pour les usagers. Exemples : utilisation de la boîte mail, aller plus loin avec son navigateur internet, se prémunir des arnaques et des fraudes en ligne.
- Sans thématique ; ce sont des temps où les gens viennent avec leurs questionnements : au sujet des applications sur le téléphone, sur le téléchargement des photos sur l’ordinateur… Durant ces 2 heures on répond à toutes les questions tout favorisant les interactions entre les personnes dans le groupe.
On travaille avec les agents France Services qui accompagnent les administrés dans les démarches administratives. Dans la plupart des situations, il faut avoir une boîte mail pour réaliser ces démarches.
Avec de la pédagogie on arrive à sensibiliser les usagers au numérique. Ça peut être :
- De créer une boîte mail et l’utiliser, d’approfondir toutes ses facettes (télécharger une pièce jointe, envoyer des photos à ses petits enfants ou en recevoir).
- D’appréhender sans craintes la navigation sur internet.
On intervient pour toute difficulté liée à une démarche numérique ou sur l’utilisation de son appareil. Par exemple : « Une personne est venue me voir afin que je l’aide à s’inscrire en candidat libre à l’examen de CAP Pâtissier. J’ai découvert avec elle le processus pour finaliser sa demande. »
Le public accompagné
Notre public est constitué essentiellement de personnes qui n’ont pas été confrontées au numérique dans leur vie et dans leur travail. Ce sont principalement des retraités et des personnes sans emploi qui s’inscrivent aux ateliers. On a aussi un public plus jeune notamment pour l’accompagnement à la création de CV et l’écriture d’une lettre de motivation.
La mise en place des ateliers
La programmation que nous avons mis en place vient des constats faits lors des « Café numérique ». La maîtrise de la boîte mail, la navigation sur internet en toute sécurité, l’apprentissage de la navigation privée, la gestion de l’historique sont apparus comme une base indispensable pour l’utilisation du numérique.
Le programme évoluera en fonction des besoins, des attentes des personnes participants aux ateliers.
Pour informer les habitants, nous nous appuyons sur les communes comme relai d’information (panneau Pocket et tableaux lumineux en extérieur) ainsi que les outils de la CCLST (site internet, Facebook, la quinzaine).
Les Conseillers Numériques France Services, missionnés par la Communauté de Communes de Loches Sud Touraine (CCLST) interviennent sur 60 communes. Un collègue de l’association Puzzle travaille sur les 7 autres communes.
Le choix a été fait de diviser les 67 communes en secteurs : les interventions se font sur 16 communes afin de pouvoir avoir des actions de proximité et ainsi, être au plus près des usagers.
La CCLST porte 3 France Services : Loches, Ligueil, Descartes et les antennes du Grand Pressigny et de Preuilly sur Claise. Le groupe La Poste porte la quatrième France Services à Montrésor.
Les Conseillers Numériques France Services ont pour objectifs de réduire la fracture numérique et d’accompagner les personnes en décalage avec le numérique.
On propose des ateliers :
- Avec une thématique ; on aborde les sujets identifiés comme étant importants pour les usagers. Exemples : utilisation de la boîte mail, aller plus loin avec son navigateur internet, se prémunir des arnaques et des fraudes en ligne.
- Sans thématique ; ce sont des temps où les gens viennent avec leurs questionnements : au sujet des applications sur le téléphone, sur le téléchargement des photos sur l’ordinateur… Durant ces 2 heures on répond à toutes les questions tout favorisant les interactions entre les personnes dans le groupe.
On travaille avec les agents France Services qui accompagnent les administrés dans les démarches administratives. Dans la plupart des situations, il faut avoir une boîte mail pour réaliser ces démarches.
Avec de la pédagogie on arrive à sensibiliser les usagers au numérique. Ça peut être :
- De créer une boîte mail et l’utiliser, d’approfondir toutes ses facettes (télécharger une pièce jointe, envoyer des photos à ses petits enfants ou en recevoir).
- D’appréhender sans craintes la navigation sur internet.
On intervient pour toute difficulté liée à une démarche numérique ou sur l’utilisation de son appareil. Par exemple : « Une personne est venue me voir afin que je l’aide à s’inscrire en candidat libre à l’examen de CAP Pâtissier. J’ai découvert avec elle le processus pour finaliser sa demande. »
Le public accompagné
Notre public est constitué essentiellement de personnes qui n’ont pas été confrontées au numérique dans leur vie et dans leur travail. Ce sont principalement des retraités et des personnes sans emploi qui s’inscrivent aux ateliers. On a aussi un public plus jeune notamment pour l’accompagnement à la création de CV et l’écriture d’une lettre de motivation.
La mise en place des ateliers
La programmation que nous avons mis en place vient des constats faits lors des « Café numérique ». La maîtrise de la boîte mail, la navigation sur internet en toute sécurité, l’apprentissage de la navigation privée, la gestion de l’historique sont apparus comme une base indispensable pour l’utilisation du numérique.
Le programme évoluera en fonction des besoins, des attentes des personnes participants aux ateliers.
Pour informer les habitants, nous nous appuyons sur les communes comme relai d’information (panneau Pocket et tableaux lumineux en extérieur) ainsi que les outils de la CCLST (site internet, Facebook, la quinzaine).
Quel en a été l'historique (origines, objectifs / intentions de départ, évolutions depuis le lancement, ...) ?
Il y a eu beaucoup de Conseillers Numériques France Services formés en France parce qu’il y a un constat de fracture numérique importante sur les territoires. Plus de 15 % de la population était en situation d’illectronisme en 2021 (INSEE). On s’est rendu compte que, malgré leur équipement en matériel informatique (ordinateur, smartphone, tablette), beaucoup de gens ne savaient pas utiliser les outils numériques.
Quelles ont été les difficultés ou les limites observées
La communication reste notre plus grand défi : notre but est d’informer tous les habitants du territoire de notre programmation.
Certaines campagnes d’informations auprès des mairies ne génèrent pas d’inscriptions aux ateliers. Nous réfléchissons donc à des moyens de communication plus impactant auprès du public.
Malgré tout, nous constatons que les commerces de proximité sont un bon vecteur de communication.
Certaines campagnes d’informations auprès des mairies ne génèrent pas d’inscriptions aux ateliers. Nous réfléchissons donc à des moyens de communication plus impactant auprès du public.
Malgré tout, nous constatons que les commerces de proximité sont un bon vecteur de communication.
Qu'est-ce qui a marché ? Quels en sont les enseignements ? Quelles perspectives pour la suite?
Le bilan s’avère positif. Nous sommes davantage repérés par le public et les structures : preuve en est l’augmentation des inscriptions aux ateliers numériques.
Nos perspectives pour l'avenir
Désormais nos ateliers s’appellent « Cap numérique » et non plus « Café numérique ». Ce changement vient de la volonté de créer plus de dynamisme, de susciter un déclic auprès de notre public : pour passer les barrières, aller vers le dématérialisé.
On réfléchit aux moyens de se faire identifier dans le cadre de manifestations sur le territoire autrement que par l’envoi de mails : se déplacer dans les communes, faire venir les personnes, avoir des stands pour communiquer en vis-à-vis avec les usagers.
Les qualités requises pour ce métier
Ce métier nécessite une appétence pour les nouvelles technologies et une fibre sociale. En tant que conseillère numérique je dois être capable de m’adapter à des publics très divers, d’accompagner ces derniers sur des démarches administratives selon la demande, posséder un sens relationnel développé et des qualités pédagogiques. C’est une profession créative avec notamment la mise en place d’ateliers et actions de communication autour du numérique.
Merci à Isabelle Sauquet pour ces informations.
Nos perspectives pour l'avenir
Désormais nos ateliers s’appellent « Cap numérique » et non plus « Café numérique ». Ce changement vient de la volonté de créer plus de dynamisme, de susciter un déclic auprès de notre public : pour passer les barrières, aller vers le dématérialisé.
On réfléchit aux moyens de se faire identifier dans le cadre de manifestations sur le territoire autrement que par l’envoi de mails : se déplacer dans les communes, faire venir les personnes, avoir des stands pour communiquer en vis-à-vis avec les usagers.
Les qualités requises pour ce métier
Ce métier nécessite une appétence pour les nouvelles technologies et une fibre sociale. En tant que conseillère numérique je dois être capable de m’adapter à des publics très divers, d’accompagner ces derniers sur des démarches administratives selon la demande, posséder un sens relationnel développé et des qualités pédagogiques. C’est une profession créative avec notamment la mise en place d’ateliers et actions de communication autour du numérique.
Merci à Isabelle Sauquet pour ces informations.
Ressources : personnes, adresses, sites web, images . . .
Pour en savoir plus
Liens utiles :
Site des France Services de la Communauté de communes de Sud Loches Touraine
Facebook : programmation et actualités des France Services
Contacts :
Isabelle 07 85 93 89 38 / isabelle.sauquet@lochessudtouraine.com
Benoît 07 85 68 18 99 / benoit.thibault@lochessudtouraine.com
Un atelier à France Services :
Liens utiles :
Site des France Services de la Communauté de communes de Sud Loches Touraine
Facebook : programmation et actualités des France Services
Contacts :
Isabelle 07 85 93 89 38 / isabelle.sauquet@lochessudtouraine.com
Benoît 07 85 68 18 99 / benoit.thibault@lochessudtouraine.com
Un atelier à France Services :
Auteur.ices de la fiche
Assia Lazar
2013 - | Ateliers numériques
2013 - | Ateliers numériques
Nom de l'action
Ateliers numériques
Territoire concerné par l'action
- Local - bassin de vie d'Amboise
Structures et acteurs impliqués
Centre social maryse bastié
Année de lancement
2013
Action toujours en cours ?
Oui
En quoi consiste l'action ?
Initiation à l'ordinateur et à son contenu, navigation web, boite mail, etc
Auteur.ices de la fiche
Léa
2013 - 2015 | Sanikart, un jeu vidéo co-construit prétexte à explorer son quartier et les usages numérique
2013 - 2015 | Sanikart, un jeu vidéo co-construit prétexte à explorer son quartier et les usages numérique
Nom de l'action
Sanikart, un jeu vidéo co-construit prétexte à explorer son quartier et les usages numérique
Territoire concerné par l'action
- Local - bassin de vie de Chinon
Structures et acteurs impliqués
CoopAxis, Artefacts, Centre social Plurielles, Courteline, FunLab, E2C Argenteuil, éducateurs de prévention CD37
Année de lancement
2013
Action toujours en cours ?
Non
Année de fin
2015
En quoi consiste l'action ?
Ce projet consiste à faire évoluer le jeu vidéo Sanikart (jeu de karting open source qui se situe dans les rues du Sanitas, créé à partir du plan du quartier, modélisé en 3D). La surface de jeu initiale sera augmentée par la participation de plusieurs groupes accueillis en ateliers dans différentes structures du quartier du Sanitas. Un événement sera organisé afin de faire une présentation publique du jeu et plus généralement de la réalisation du jeu. Enfin, un manuel de réalisation sera co-écrit par des membres des différents groupes (professionnels et participants aux ateliers) afin d'expliquer les différentes étapes de réalisation d'un jeu 3D, de montrer en quoi il peut être un support d'apprentissage et un outil d'animation sociale, à partir de l'expérience concrète des participants.
Retrouvez :
Le prototype expérimenté avec l?École de la 2ème Chance d'Argenteuil visait à valider l'acquisition de compétences numériques et de gestion de projet nécessaires à une plus grande agilité professionnelle d'un groupe de jeunes raccrocheurs, grâce aux logiciels libres et au jeu vidéo.
Ce prototype devait permettre de formaliser un processus pédagogique appropriable par d'autres acteurs souhaitant s'appuyer sur ces mêmes outils pour soutenir l'agilité professionnelle des jeunes.
Des visuels ont été dessinés en direct par Mathilde durant les séance et constituent une belle mémoire de l'action, ils sont accessibles via ces liens :
Des ressources audio ont également été produites :
Sanikart, le projet d'origine
Ce projet consiste à faire évoluer le jeu vidéo Sanikart (jeu de karting open source qui se situe dans les rues du Sanitas, créé à partir du plan du quartier, modélisé en 3D). La surface de jeu initiale sera augmentée par la participation de plusieurs groupes accueillis en ateliers dans différentes structures du quartier du Sanitas. Un événement sera organisé afin de faire une présentation publique du jeu et plus généralement de la réalisation du jeu. Enfin, un manuel de réalisation sera co-écrit par des membres des différents groupes (professionnels et participants aux ateliers) afin d'expliquer les différentes étapes de réalisation d'un jeu 3D, de montrer en quoi il peut être un support d'apprentissage et un outil d'animation sociale, à partir de l'expérience concrète des participants.
Retrouvez :
- Le livret récit de l'expérience
- Une vidéo du projet
- Une page sur laquelle retrouver les fichiers du jeu et comment y l'installer
Argenteuil Kart... la suite :)
Suite à la première version du projet, nous sommes allé à l'E2C d’Argenteuil en proposer une version dérivée !Le prototype expérimenté avec l?École de la 2ème Chance d'Argenteuil visait à valider l'acquisition de compétences numériques et de gestion de projet nécessaires à une plus grande agilité professionnelle d'un groupe de jeunes raccrocheurs, grâce aux logiciels libres et au jeu vidéo.
Ce prototype devait permettre de formaliser un processus pédagogique appropriable par d'autres acteurs souhaitant s'appuyer sur ces mêmes outils pour soutenir l'agilité professionnelle des jeunes.
Des visuels ont été dessinés en direct par Mathilde durant les séance et constituent une belle mémoire de l'action, ils sont accessibles via ces liens :
Des ressources audio ont également été produites :
Auteur.ices de la fiche
Cyrille Giquello, Malvina Balmes, Romain Lalande, et compagnie
2015 - | Formation Préparation aux métiers du numérique (ex DMN)
2015 - | Formation Préparation aux métiers du numérique (ex DMN)
Nom de l'action
Formation Préparation aux métiers du numérique (ex DMN)
Territoire concerné par l'action
- Local - bassin de vie de Tours
Structures et acteurs impliqués
CEFIM, AFPP, Artefacts
Année de lancement
2015
Action toujours en cours ?
Oui
En quoi consiste l'action ?
FormationPMN_StandFOL.pdf (0.2MB)
Auteur.ices de la fiche
Laurence Picado
2016 - | Revalorisation Informatique
2016 - | Revalorisation Informatique
Nom de l'action
Revalorisation Informatique
Territoire concerné par l'action
- Local - bassin de vie de Tours
Structures et acteurs impliqués
Centre Social Maryse Bastié
Année de lancement
2016
Action toujours en cours ?
Oui
Auteur.ices de la fiche
Samuel Chailleux
2016 - 2016 | PasteurLab - un espace de médiation numérique avorté au sanitas
2016 - 2016 | PasteurLab - un espace de médiation numérique avorté au sanitas
Nom de l'action
PasteurLab - un espace de médiation numérique avorté au sanitas
Territoire concerné par l'action
- Quartier Prioritaire
- Local - bassin de vie de Tours
Structures et acteurs impliqués
Maison de la Réussites, Espace Passerelles, CoopAxis, Centre Social Plurielles, Objectif 100%, Palo Altours, FunLab, Mission Locale
Année de lancement
2016
Action toujours en cours ?
Non
Année de fin
2016
En quoi consiste l'action ?
PasteurLab a été un projet collectif de lancement d'un lieu dédié à la fabrication numérique sur le quartier du Sanitas.
S'il n'a jamais vu le jour, il témoigne d'une année charnière, entre la fin de l'activité du PTCA CoopAxis, et la naissance de l'association Espace Passerelles sur le quartier du Sanitas.
Le projet en PJ donne à voir la dynamique envisagée alors pars différents acteurs du quartier.
S'il n'a jamais vu le jour, il témoigne d'une année charnière, entre la fin de l'activité du PTCA CoopAxis, et la naissance de l'association Espace Passerelles sur le quartier du Sanitas.
Le projet en PJ donne à voir la dynamique envisagée alors pars différents acteurs du quartier.
Auteur.ices de la fiche
Romain Lalande
2017 - | Ateliers numériques à la bibliothèque municipale de Tours
2017 - | Ateliers numériques à la bibliothèque municipale de Tours
Nom de l'action
Ateliers numériques à la bibliothèque municipale de Tours
Territoire concerné par l'action
- Local - bassin de vie de Tours
Structures et acteurs impliqués
Personnel de la bibliothèque de Tours
Année de lancement
2017
Action toujours en cours ?
Oui
En quoi consiste l'action ?
Ateliers ponctuels (Entre 5 et 15 par an) :présentation d'applis sur tablette, stop motion, escape game numérique, atelier fake news...
Auteur.ices de la fiche
Lou-Anne (CCAS de Bourgueil) et Benjamin (bibliothèque municipale de Tours)
2017 - | Le bus numérique : "merci d'être venu nous voir" !
2017 - | Le bus numérique : "merci d'être venu nous voir" !
Nom de l'action
Le bus numérique : "merci d'être venu nous voir" !
Territoire concerné par l'action
- Régional
Structures et acteurs impliqués
ASEPT, CARSAT, Conférence des financeurs, Solution Vie Pratique
Année de lancement
2017
Action toujours en cours ?
Oui
En quoi consiste l'action ?
https://annuel2.framapad.org/p/busnumerique
https://prezi.com/view/Kt19vi9kja6LhlCef0Mo/
C'est un [vrai] bus qui circule en RCVL pour sensibiliser les senior de plus de 60 aux outils numériques. A la base sutout les ordinateurs mais aussi des tablettes. En générale une collectivité ou asso (au moins structure non commerciale) qui va fair la demande du bus.
Le porteur de projet c'est Solution Vie Pratique, qui fait la demande du bus numérique qui est ensuite gratit pour le demandeur. l'organi local doit juste fournir une prise de couant et un accès à des toilettes.
deux ateliers de 3h, 12 postes informatiques
Coordo : Quentin
Un atelier de sensibilisation pour revoir le B Ba :
-> Idée / donner envie aux invisibles, rassurer pour aller plus loin
Un senior qui utilise tous les jours son ordi ne sera pas concerné par le bus, ce sera plutôt la p’tite dame qui dira "c'est pas à mon age que je vais apprendre, c'est pas pour moi, de toute façon c'est ma fille qui s'occupe es impôts,..."
Financé par : caisses de retraire CARSAT MSA BERRY, AGIR ARCO, conférences des financeurs (CNSA donne une enveloppe gérée par les départements, conférence financeur sur la perte d'autonomie, décision sur répartition de l'enveloppe).
Un certain nombre de journées prévues dans le financement 168 journées dont 40 pour l'Indre et Loire)
Echelon régional.
Cela permet un service gratuit pour la commune et pour les personnes
C'est au demandeur de trouver les gens : Solution Vie Pratique donne un service financé par les caisses des retraites mais ne s'occupe que du pédagogique, c'est à la structure/personne qui demande le bus qui va devoir trouver des inscrits. 12 matins, 12 après-midi, sr inscription auprès de la commune qui s'organise.
Pour participer il faut donc s'inscrire
"Je veux organiser une journée, j'appelle Quentin, il m'explique le besoin de terrain asez grand pour un bus de 12m, donne quelques astuces de communication mais c'est ensuite à moi de m'organiser". S'il n'y a que deux inscrit il ne se déplacera pas.
Le but est 'aller dans les petites communes rurales et une antenne satellite permet d'avoir internet en zone blanche !
https://prezi.com/view/Kt19vi9kja6LhlCef0Mo/
C'est un [vrai] bus qui circule en RCVL pour sensibiliser les senior de plus de 60 aux outils numériques. A la base sutout les ordinateurs mais aussi des tablettes. En générale une collectivité ou asso (au moins structure non commerciale) qui va fair la demande du bus.
Le porteur de projet c'est Solution Vie Pratique, qui fait la demande du bus numérique qui est ensuite gratit pour le demandeur. l'organi local doit juste fournir une prise de couant et un accès à des toilettes.
deux ateliers de 3h, 12 postes informatiques
Coordo : Quentin
Un atelier de sensibilisation pour revoir le B Ba :
- qu'ets-ce qu'un ordi
- Comment n l'allume / utilise la souris
- le clavier : taper un petit texte
- Découvrir internet (onglets, recherches,...)
- redonner de la culture numérique
- ("aller sur internet c'est pas aller sur google")
- Quelques sites incontournables ( ex : )
- Notion de securité
-> Idée / donner envie aux invisibles, rassurer pour aller plus loin
Un senior qui utilise tous les jours son ordi ne sera pas concerné par le bus, ce sera plutôt la p’tite dame qui dira "c'est pas à mon age que je vais apprendre, c'est pas pour moi, de toute façon c'est ma fille qui s'occupe es impôts,..."
Financé par : caisses de retraire CARSAT MSA BERRY, AGIR ARCO, conférences des financeurs (CNSA donne une enveloppe gérée par les départements, conférence financeur sur la perte d'autonomie, décision sur répartition de l'enveloppe).
Un certain nombre de journées prévues dans le financement 168 journées dont 40 pour l'Indre et Loire)
Echelon régional.
Cela permet un service gratuit pour la commune et pour les personnes
C'est au demandeur de trouver les gens : Solution Vie Pratique donne un service financé par les caisses des retraites mais ne s'occupe que du pédagogique, c'est à la structure/personne qui demande le bus qui va devoir trouver des inscrits. 12 matins, 12 après-midi, sr inscription auprès de la commune qui s'organise.
Pour participer il faut donc s'inscrire
"Je veux organiser une journée, j'appelle Quentin, il m'explique le besoin de terrain asez grand pour un bus de 12m, donne quelques astuces de communication mais c'est ensuite à moi de m'organiser". S'il n'y a que deux inscrit il ne se déplacera pas.
Le but est 'aller dans les petites communes rurales et une antenne satellite permet d'avoir internet en zone blanche !
Quel en a été l'historique (origines, objectifs / intentions de départ, évolutions depuis le lancement, ...) ?
Les intentions d'origine
C'est une idée e Mr Vachet en 2017, le proutident de Solution Vie Pratique sur la base de la première version en Aquitaine. Il vient une semaine sur une place, une plateforme et les gens viennent s'inscrire. La Région a souhaité le développer en région Normandie.
C'est donc un projet issu de la CARSAT à la différence du coté mobile : aller vers la population plutôt que demander aux gens de se déplacer.
Quentin y était dés le départ, il y a eu un formateur qui a pas trop plût, Quentin a dû faire animateur avant de reprendre la coordination quand Christophe est arrivé sur l'animation renforcé à par
Sandra (mon assistant numérique), intervient. THomas, conducteur.
Ce ne sont que des indépendants.
Dans la volonté il y avait aussi le coté parcours : en quoi avoir un bus numérique répond aussi au bien vieillir avec l'enjeu du tout dématérialisé en 2022 : il va falloir que les gens remplissent à minima leur dossier de retraite.
L'intention était aussi le lien social : ils souhaitaient que ce soit les commune qui demandent car il y avait l'enjeu de sensibiliser les communes au numérique et qu'elles se posent la question de la suite pour ne pas abandonner les gens en s'engageant à organiser des ateliers derrière.
Le processus de mise en oeuvre
Inciter à ce qu'il y ait des ateliers numériques sur les commune, ne pas abandonner les gens. Mais aussi frein, car certaines communes n e vouaient pas organiser des ateliers derrière.
(OBSERVATOIRE DES fragilités de la CARSAT) -Ex CHINON : Constat : très peu de fréquentation.
L'Asept et le Bus Numérique
Le suivi du projet était fait directement par la CARSAT qui a finalement demandé à l'ASEPT en 2018(asso inter-régime des caisses de retraites) de reprendre le suivi du bus et l'accompagnement du porteur de projet "solution vie pratique". Clémence Pierre a été recrutée sur la question pour en faire toute la gestion de projet (bilans, suivis, enquête à deux ans sur l'impact, ses points forts/faibles/...). Dans sa mission également le recensement et la cartographie des offres numériques sur la région centre qui a amené à rencontrer Morad Bennaceur et le projet Médiation Numérique pour Tous (actuel hub-Lo) quia permis de constater la multiplicité des gens qui faisaient des cartographies mais surtout le besoin commun d'en avoir.
Au delà dans la mission de Clémence la mise en place des ateliers de sensibilisation et la coordination d'un réel parcours afin de pouvoir mettre en œuvre un déploiement territoriale réfléchit et pertinent avec les autres acteurs organisant des ateliers, souvent eux aussi financés par CARSAT ou Conférences des FInanceurs. Nous avons donc demandé aux financeurs de prioriser les financements d'action numérique quand le bus numérique était déjà passé avant !
C'est suite à cette enquête
C'est une idée e Mr Vachet en 2017, le proutident de Solution Vie Pratique sur la base de la première version en Aquitaine. Il vient une semaine sur une place, une plateforme et les gens viennent s'inscrire. La Région a souhaité le développer en région Normandie.
C'est donc un projet issu de la CARSAT à la différence du coté mobile : aller vers la population plutôt que demander aux gens de se déplacer.
Quentin y était dés le départ, il y a eu un formateur qui a pas trop plût, Quentin a dû faire animateur avant de reprendre la coordination quand Christophe est arrivé sur l'animation renforcé à par
Sandra (mon assistant numérique), intervient. THomas, conducteur.
Ce ne sont que des indépendants.
Dans la volonté il y avait aussi le coté parcours : en quoi avoir un bus numérique répond aussi au bien vieillir avec l'enjeu du tout dématérialisé en 2022 : il va falloir que les gens remplissent à minima leur dossier de retraite.
L'intention était aussi le lien social : ils souhaitaient que ce soit les commune qui demandent car il y avait l'enjeu de sensibiliser les communes au numérique et qu'elles se posent la question de la suite pour ne pas abandonner les gens en s'engageant à organiser des ateliers derrière.
Le processus de mise en oeuvre
Inciter à ce qu'il y ait des ateliers numériques sur les commune, ne pas abandonner les gens. Mais aussi frein, car certaines communes n e vouaient pas organiser des ateliers derrière.
- D'abord été envoyé un mail à tout le monde pour le faire passer à tout prix (année 1)
- Ensuite aller sur des territoires prio en fonction de l'observatoire de la fragilité e la CARSAT avec ciblage com com du Lochois (année 2) -> il y a eu plus de 25 dates sur le lochois mais annulées les unes après les autres faute de fréquentation. C'était un public à convaincre que le numérique allait au delà des impôts, qu'il y avait un gros travail d'accompagnement à faire auprès des collectivités et qu'il fallait un relais actif sur place).
- En 2020 organisation de conférences de sensibilisation au sujet des élus avec inscription sur place pour faire venir le bus numérique ( 2020). -> rapprochement de Geneviève sur le chinonais qui nous a expliqué ses freins, qui nous a expliqué la peur de certaines communes de ne pas parvenir à trouver 25 personnes
- Travail avec les communes : tournée pour recenser les besoins et faire des ateliers en fonction derrière. Conférence fut reportée de mois en mois (crise sanitaire 2020-2021). Rien n'a eu lieu. 2021 : sensibilisation, tournée pour relancer l'intérêt du bus. c'est le coté un peu pub pour cibler les besoins avant de venir. Reduction aussi du nombre de personnes (6 personnes, plus facile à trouver)
- Permet de cibler les besoins. Comme une réunion d'info avant un atelier.
(OBSERVATOIRE DES fragilités de la CARSAT) -Ex CHINON : Constat : très peu de fréquentation.
L'Asept et le Bus Numérique
Le suivi du projet était fait directement par la CARSAT qui a finalement demandé à l'ASEPT en 2018(asso inter-régime des caisses de retraites) de reprendre le suivi du bus et l'accompagnement du porteur de projet "solution vie pratique". Clémence Pierre a été recrutée sur la question pour en faire toute la gestion de projet (bilans, suivis, enquête à deux ans sur l'impact, ses points forts/faibles/...). Dans sa mission également le recensement et la cartographie des offres numériques sur la région centre qui a amené à rencontrer Morad Bennaceur et le projet Médiation Numérique pour Tous (actuel hub-Lo) quia permis de constater la multiplicité des gens qui faisaient des cartographies mais surtout le besoin commun d'en avoir.
Au delà dans la mission de Clémence la mise en place des ateliers de sensibilisation et la coordination d'un réel parcours afin de pouvoir mettre en œuvre un déploiement territoriale réfléchit et pertinent avec les autres acteurs organisant des ateliers, souvent eux aussi financés par CARSAT ou Conférences des FInanceurs. Nous avons donc demandé aux financeurs de prioriser les financements d'action numérique quand le bus numérique était déjà passé avant !
C'est suite à cette enquête
Quelles ont été les difficultés ou les limites observées
Une grosse difficulté : c'est un outil qui est très cher. alors que les financeurs demandent d'un rendement par les financeurs. Un minimum d'inscrit. Vraie difficulté : trouver des gens.
Le plus difficile est de trouver des gens, des personnes qui correspondent à ce profil et leur donner envie de s'y inscrire.
La thématique qui freine .
Voulx , BV Loches : 4 personnes sorties satisfaites.
trois heures uniquement : ça ne suffit pas. Besoin de renvoyer vers autres choses.
Pas toujours le retour des élus, ce qui peut donner l'impression de ne pas avoir de besoins derrière alors que dans les questionnaires des participants tous ont des demandes derrière. C'est vraiment une problématique : des communes qui demandent mais s'en désintéressent complètement, voir qui oublient qu'on evait venir, oublient 'ouvrir la porte,... Même si d'autre fois on est accueillis avec des petits gâteaux, invités à manger le midis,etc.
Autre difficulté : il s'adresse à des communes rurales, que des élus, une secrétaire, pas tj présente. Où la notion de projet n'est pas connu. Affiche sur site ou fb? c'est tout. Peu de lieu de communication( pas de boulangerie...)
La com' sur internet quand on vise ceux qui n'y sont pas... c'est potentiellement insuffisant x)
Constat : Peu de demande des communes. Présence et arrivée des CNFS : service assuré et identifié et donc, le bus ne paraît pas utile.
Le plus difficile est de trouver des gens, des personnes qui correspondent à ce profil et leur donner envie de s'y inscrire.
La thématique qui freine .
Voulx , BV Loches : 4 personnes sorties satisfaites.
trois heures uniquement : ça ne suffit pas. Besoin de renvoyer vers autres choses.
Pas toujours le retour des élus, ce qui peut donner l'impression de ne pas avoir de besoins derrière alors que dans les questionnaires des participants tous ont des demandes derrière. C'est vraiment une problématique : des communes qui demandent mais s'en désintéressent complètement, voir qui oublient qu'on evait venir, oublient 'ouvrir la porte,... Même si d'autre fois on est accueillis avec des petits gâteaux, invités à manger le midis,etc.
Autre difficulté : il s'adresse à des communes rurales, que des élus, une secrétaire, pas tj présente. Où la notion de projet n'est pas connu. Affiche sur site ou fb? c'est tout. Peu de lieu de communication( pas de boulangerie...)
La com' sur internet quand on vise ceux qui n'y sont pas... c'est potentiellement insuffisant x)
Constat : Peu de demande des communes. Présence et arrivée des CNFS : service assuré et identifié et donc, le bus ne paraît pas utile.
Qu'est-ce qui a marché ? Quels en sont les enseignements ? Quelles perspectives pour la suite?
Un super objet de pub, il est vraiment beau, on est super bien assis dedans !
Les gens font ce retour de satisfaction sur le matériel et l'accueil (équipe agréable), c'est la vraie force de l'action.
Quand on gare un bus de 12m sur une place devant une église on ne voit que lui et ça fait un événementiel.
Ca s'inscrit nécessairement dans le temps long.La thématique est pas sexy, ça s'adresse aux +60 qui souvent ne voient pas l'utilité du numérique.
Une fois que la personne a fait le premier pas, elle est satisfaite de la séance, en parle autour d'elle et la seconde fois le bouche à oreille fonctionne. Quand le bus revient une seconde fois c'est plus facile.
Le bus a permit de faire prendre conscience des besoins. PAr exemple à Sorigny : ils l'ont fait venir en étant sceptique, mais il y a eu 24 personnes qui ont permis de rendre visible le
Constat : en effet c'est une problématique, un vrai besoin ( sous-estimé au départ).. Autre ex : un maire qui l'a fait venir pour juste faire sortir les gens / faire effet "club des anciens" mais il y a eu 36 personnes !
bUS révèle une problématique territoriale : comment on y répond
Analyse des questionnaires satisfaction : tous demandent une suite.
Il faut quelqu'un pour porter le projet / l'incarner sur place. Y a pas toujours des professionnels ou une personne très investie : quand y en a un ça fonctionne mieux. Ou une personne très investie
Gros travail à faire au niveau des collectivités.
Il faut vraiment aller au plus proche acar prob de mobilité et on s'adresse à un public qui à la base a déjà pas envie donc ils ne ont pas faire 15km pour venir !
Penser comme un parcours et pas juste des actions OneShot
Perspectives :
Cible : milieu rural, où difficulté de mobilité.
- Port sur Vienne : bus a permis de relancer l'EPN, financement d'ateliers par CARSAT
- La ferrière : trop d'inscrits. Grosse dynamique mise en place : ateliers, formation... Formation de la secrétaire de mairie. Engagement pour développer.
But : prévention de la perte d'autonomie
Ce bus il plaît, il plaît pas... mais il y a toujours quelque chose à en dire !
Relais de culture numérique, sur les fake news, sur l’actualité, un vrai outil de lien social.
"Merci d'être venu nous voir"
Les gens font ce retour de satisfaction sur le matériel et l'accueil (équipe agréable), c'est la vraie force de l'action.
Quand on gare un bus de 12m sur une place devant une église on ne voit que lui et ça fait un événementiel.
Ca s'inscrit nécessairement dans le temps long.La thématique est pas sexy, ça s'adresse aux +60 qui souvent ne voient pas l'utilité du numérique.
Une fois que la personne a fait le premier pas, elle est satisfaite de la séance, en parle autour d'elle et la seconde fois le bouche à oreille fonctionne. Quand le bus revient une seconde fois c'est plus facile.
Le bus a permit de faire prendre conscience des besoins. PAr exemple à Sorigny : ils l'ont fait venir en étant sceptique, mais il y a eu 24 personnes qui ont permis de rendre visible le
Constat : en effet c'est une problématique, un vrai besoin ( sous-estimé au départ).. Autre ex : un maire qui l'a fait venir pour juste faire sortir les gens / faire effet "club des anciens" mais il y a eu 36 personnes !
bUS révèle une problématique territoriale : comment on y répond
Analyse des questionnaires satisfaction : tous demandent une suite.
Il faut quelqu'un pour porter le projet / l'incarner sur place. Y a pas toujours des professionnels ou une personne très investie : quand y en a un ça fonctionne mieux. Ou une personne très investie
Gros travail à faire au niveau des collectivités.
Il faut vraiment aller au plus proche acar prob de mobilité et on s'adresse à un public qui à la base a déjà pas envie donc ils ne ont pas faire 15km pour venir !
Penser comme un parcours et pas juste des actions OneShot
Perspectives :
- Renforcer le lien avec le territoire, avec les CN, idée que c'est un objet utilisable par les territoires
- façon de mobiliser les personnes - pub, attractif
- Action qui est locale, impliquée dans le réseau territorial - pour que les senior se repèrent, idée de parcours.
- * Formule découverte - 30% du département qui a été fait
Cible : milieu rural, où difficulté de mobilité.
- Trouver une nouvelle stratégie pour convaincre les communes de faire la demande car ils en font moins. Aussi pour composer avec les conseiller numérique France Service qui parfois sont là comme en concurrence. Le numérique devenant une priorité suite au confinement il est là de partout et parfois les communes saturent. Un enjeu à faire comprendre l'intérêt spécifique du bus vis à vs des conseillers numériques, et montrer qu'il ne va pas leur voler leur travail.
- Port sur Vienne : bus a permis de relancer l'EPN, financement d'ateliers par CARSAT
- La ferrière : trop d'inscrits. Grosse dynamique mise en place : ateliers, formation... Formation de la secrétaire de mairie. Engagement pour développer.
But : prévention de la perte d'autonomie
Ce bus il plaît, il plaît pas... mais il y a toujours quelque chose à en dire !
Relais de culture numérique, sur les fake news, sur l’actualité, un vrai outil de lien social.
"Merci d'être venu nous voir"
Auteur.ices de la fiche
Clémence Pierre, Lydie Cassaigne, Romain Lalande
2017 - | Promeneurs du net 37
2017 - | Promeneurs du net 37
Nom de l'action
Promeneurs du net 37
Territoire concerné par l'action
- Départemental
Structures et acteurs impliqués
Professionnel.le.s de l'éducation (animateur.rice, educateur.rice spécialisé.e, animateur.rice info jeunesse, responsable accueil jeune, etc)
Année de lancement
2017
Action toujours en cours ?
Oui
En quoi consiste l'action ?
Dispositif mis en place par la CAF et coordonné par la ligue de l'enseignement 37 et le bureau information jeunesse 37. Ce diposititf vise à accompagner et outiller les professionnels de l'éducation sur des questions relative au numérique dans le but de pouvoir accompagner leur différent public sur ces même questions (reseaux sociaux, education aux média, etc)
Auteur.ices de la fiche
Kevin Mbizi
2018 - 2019 | Résidence artiste autour de l'imprimante 3D
2018 - 2019 | Résidence artiste autour de l'imprimante 3D
Nom de l'action
Résidence artiste autour de l'imprimante 3D
Territoire concerné par l'action
- Local - bassin de vie de Tours
Structures et acteurs impliqués
Fablab la Grange Numérique et plasticienne Stéphanie Letessier
Année de lancement
2018
Action toujours en cours ?
Non
Année de fin
2019
En quoi consiste l'action ?
Permettre a une artiste de travailler autour des matières plastiques et découvrir l’imprimante 3D pour réfléchir à une pratique artistique de cet outil. Lui permettre un temps d’expérimentation afin que l’artiste puisse aboutir à son projet et finaliser par un vernissage au Fablab de la Grange et ouvert à tous.
Quel en a été l'historique (origines, objectifs / intentions de départ, évolutions depuis le lancement, ...) ?
Je connaissais Stéphanie et son travail et j’ai penser que l’outil imprimante 3D pouvait l’intéresser dans sa démarche artistiques. Stéphanie a découvert dans un deuxième temps le Fablab et l’imprimante 3D et nous avons décidés de faire un format long de résidence artistique,non définis (au final 8 mois ) aboutissant à un vernissage et expo.
Objectif : Exposition sur un long format aboutissant sur l’expo et faire découvrir les outils du fablab à une artiste.
Évolutions : Rajouter au milieu de la résidence, la découverte de l’imprimante 3D et du projet lors des portes ouvertes des Ateliers de la Morinnerie pour le grand public. L’exposition des créations de l’artiste continue à proposer a des galeries ou évènements.
Objectif : Exposition sur un long format aboutissant sur l’expo et faire découvrir les outils du fablab à une artiste.
Évolutions : Rajouter au milieu de la résidence, la découverte de l’imprimante 3D et du projet lors des portes ouvertes des Ateliers de la Morinnerie pour le grand public. L’exposition des créations de l’artiste continue à proposer a des galeries ou évènements.
Quelles ont été les difficultés ou les limites observées
La plus grande de difficulté était le réglage de l’imprimante 3D pour répondre aux besoins de l’artiste. Le problème était lié à la pratique artistique de Stéphanie qui n’utilisait que la première couche de l’impression, pour pouvoir les retravailler et déformer par la suite. Anticiper les demandes d’aides pour les frais lier à l’exposition et au vernissage, du coup les frais ont étaient partagés entre le Fablab et l’artiste.
Qu'est-ce qui a marché ? Quels en sont les enseignements ? Quelles perspectives pour la suite?
Limite technique de l’imprimante 3D, ce qui a emmené le Fablab à acquérir une imprimante 3D plus performantes. Par le manque de moyen financier on a pas put faire une autre communication que auprès de nos réseaux donc peux de monde présent à l’expo.
Atout et impact : Découverte des actions du Fablab aux autres artistes en particulier des ateliers de la Morinnerie et aussi permettre la découverte du Fablab à un plus large public. Ce projet a permis de présenter une autre utilisation de l’imprimante 3D en faisant de l’art.
Atout et impact : Découverte des actions du Fablab aux autres artistes en particulier des ateliers de la Morinnerie et aussi permettre la découverte du Fablab à un plus large public. Ce projet a permis de présenter une autre utilisation de l’imprimante 3D en faisant de l’art.
Auteur.ices de la fiche
Stéphane Risch (merci à Stéphane Bué pour l'aide et la prise de note)
2019 - | Initiation numérique
2019 - | Initiation numérique
Nom de l'action
Initiation numérique
Territoire concerné par l'action
- Départemental
Structures et acteurs impliqués
Ville Montlouis/Loire (SMES, médiathèque)
Année de lancement
2019
Action toujours en cours ?
Oui
En quoi consiste l'action ?
Atelier d'initiation a l'informatique destiné aux personnes âgées dans le cadre de la semaine bleue.
Auteur.ices de la fiche
Audrey Morel
2019 - | jiuer7845
2019 - | jiuer7845
Nom de l'action
jiuer7845
Territoire concerné par l'action
- Local - bassin de vie de Tours
Structures et acteurs impliqués
CAF, CD, Ville, CCAS, ID 37, Tsigane Habitat, Sac à Malices, Cispéo, CMS, Mission locale, associations ...
Année de lancement
2019
Action toujours en cours ?
Oui
En quoi consiste l'action ?
Le guide a été conçu par un groupe partenarial "accès aux droits", composé de professionnels du territoire. Ce groupe a également implusé l'installation d'un visio guichet CAF au sein du quartier de la Rabaterie, un EPN a été ouvert à Cispéo.... et d'autres intiatives à venir
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Auteur.ices de la fiche
Nathalie PALMENTY
2019 - 2019 | Reprenez le contrôle de votre identité numerique
2019 - 2019 | Reprenez le contrôle de votre identité numerique
Nom de l'action
Reprenez le contrôle de votre identité numerique
Territoire concerné par l'action
- Local - bassin de vie de Tours
Structures et acteurs impliqués
Centre social Camille Claudel
Année de lancement
2019
Action toujours en cours ?
Non
Année de fin
2019
En quoi consiste l'action ?
animation autour de l'identité numérique, information aux droits liés. prévention risques et boîte à outils
Auteur.ices de la fiche
Pierre comin
2019 - 2020 | I@mardi
2019 - 2020 | I@mardi
Nom de l'action
I@mardi
Territoire concerné par l'action
- Local - bassin de vie de Tours
Structures et acteurs impliqués
Ville de tours et gentiana
Année de lancement
2019
Action toujours en cours ?
Non
Année de fin
2020
En quoi consiste l'action ?
Groupe de personnes souhaitant s.informer ou se former sur différents thèmes.. ex :créer un album photos et l.envoyer à ses petits enfants..protections des donnees..etc.
2020 - | Samu-Numérique
2020 - | Samu-Numérique
Nom de l'action
Samu-Numérique
Territoire concerné par l'action
- Quartier Prioritaire
Structures et acteurs impliqués
Espaces Passerelles Le 13, une édition des Brigades Numérique, Informatique Participative.
Année de lancement
2020
Action toujours en cours ?
Oui
En quoi consiste l'action ?
Aider les gens aux réparations sur leur ordinateur
Quel en a été l'historique (origines, objectifs / intentions de départ, évolutions depuis le lancement, ...) ?
Origines : Les jeunes des Brigades Numériques de 2020 ( cf fiches Brigades Numérique) sont à l’initiative du projet, coordonné par Malvina Balmes. Informatique Participative travaillait déjà avec les Brigades et l’envie d’élargir leur action à un public plus large. Malvina Balmes était là pour cadré l’action et Informatique Participative pour son expertise technique et de terrain.
Objectifs : Une permanence, tout les vendredi matin, où les gens viennent sans rendez vous afin de répondre aux problèmes informatique. Soit la réparation est faite de suite, soit un rendez vous est pris pour une réparation plus tard.
Intention de départ : réparation technique mais aussi réparation logiciel, sur tous les quartiers prioritaire.
Evolutions : Depuis le lancement : On fait que la réparation matériels et que sur le quartier du Sanitas. Peu de réparations immédiate plutôt diagnostic et prise de rendez vous pour la remie du matériel, très faible pourcentage de réparation immédiate.
Objectifs : Une permanence, tout les vendredi matin, où les gens viennent sans rendez vous afin de répondre aux problèmes informatique. Soit la réparation est faite de suite, soit un rendez vous est pris pour une réparation plus tard.
Intention de départ : réparation technique mais aussi réparation logiciel, sur tous les quartiers prioritaire.
Evolutions : Depuis le lancement : On fait que la réparation matériels et que sur le quartier du Sanitas. Peu de réparations immédiate plutôt diagnostic et prise de rendez vous pour la remie du matériel, très faible pourcentage de réparation immédiate.
Quelles ont été les difficultés ou les limites observées
Trouver des bénévoles pour tenir les permanences. Les jeunes des Brigades avaient leur projet professionnel donc moins de temps pour tenir les permanence.
Mise en place d’une logistique et d’une organisation pour le suivi des dépôts et reprise ordinateurs ainsi que les réparations. Au départ nous avons minimisé ce principe. Difficultés trouvé une organisation simple commune à tous en tenant compte des multiple bénévoles. Le faire émergé en réseaux de quartier, exemple cela n’a pas pris aux Fontaines, compliqué pour les gens pour faire la différence entre les actions de d’Informatique Participative et celle du SAMU Numérique .
Pas d’outils de quantification de l’actions à nouveau problèmes organisationnel
Mise en place d’une logistique et d’une organisation pour le suivi des dépôts et reprise ordinateurs ainsi que les réparations. Au départ nous avons minimisé ce principe. Difficultés trouvé une organisation simple commune à tous en tenant compte des multiple bénévoles. Le faire émergé en réseaux de quartier, exemple cela n’a pas pris aux Fontaines, compliqué pour les gens pour faire la différence entre les actions de d’Informatique Participative et celle du SAMU Numérique .
Pas d’outils de quantification de l’actions à nouveau problèmes organisationnel
Qu'est-ce qui a marché ? Quels en sont les enseignements ? Quelles perspectives pour la suite?
Réel attente et besoins des habitants, une réponse au besoins des habitant, l’idée que cela puisse ce faire dans d’autres structures et quartier. Rester que sur la partie matériels car la partie logiciel est pas mal prise en charge par d’autres structures et acteurs (conseillé numérique,epn..) mais manque sur la réparation hardware. Attention à la structure relais pour pas mélangé les action. Réflexions sur sous quelle forme de participation pour les gens (l’adhésion à 7€ pour l’accessibilité). Si pas d’autres financement que les bénéficiaires impossible de continué l’action sans un fort soutient extérieur.
Auteur.ices de la fiche
Stéphane Bué
2020 - 2021 | Tours-n-Air / Captours citoyens Touraine
2020 - 2021 | Tours-n-Air / Captours citoyens Touraine
Nom de l'action
Tours-n-Air / Captours citoyens Touraine
Territoire concerné par l'action
- Local - bassin de vie de Tours
Structures et acteurs impliqués
Artefacts, La Fun, Espace Passerelles
Année de lancement
2020
Action toujours en cours ?
Non
Année de fin
2021
En quoi consiste l'action ?
Tours’N’Air est un projet d’enquête participative autour de la qualité de l’air en Touraine. Cette aventure collective, abandonnée avant de réellement exister, était ouverte à toutes et tous, des temps de rencontre étaient imaginés pour faciliter l’implication de chacun.e.
Cette démarche visait à augmenter la compréhension des enjeux de la qualité de l’air par les citoyens, des collectivités, des entreprises et des associations, pour en résoudre collectivement les problématiques.
Voici une captation vidéo d'une présentation du projet lors de son lancement en novembre 2020, elle dure 6 minutes :
Merci à MASAO Productions pour cette captation ainsi que pour son montage gracieux !
Cette démarche visait à augmenter la compréhension des enjeux de la qualité de l’air par les citoyens, des collectivités, des entreprises et des associations, pour en résoudre collectivement les problématiques.
Voici une captation vidéo d'une présentation du projet lors de son lancement en novembre 2020, elle dure 6 minutes :
Merci à MASAO Productions pour cette captation ainsi que pour son montage gracieux !
Quel en a été l'historique (origines, objectifs / intentions de départ, évolutions depuis le lancement, ...) ?
Entre 2018 et 2020, au fablab, plusieurs adhérents ont testé le montage de capteurs opensource de qualité de l'air (particules fines) à partir des documentations produites à Rennes et cela a semblé interessé un certain nombre de citoyens et de structures (professeur de techno, cyclistes du quotidien, liu de médiation numérique,...).
Dans le cadre de la formation Découverte des Métiers du Numérique, les apprenants étant à chaque promotion accompagnés à la réalisation d'un projet en groupe, à l'automne 2020, Romain Lalande et Laurence Picado, qui animent en partie cette formation avec Artefacts, décident de soumettre au groupe un projet autour de capteurs citoyens de qualité de l'air.
D'autres expériences citoyennes en la matière les a effectivement inspiré et ils voient dans la formation une bonne occasion d'initier la dynamique à Tours. Lig'Air est contacté en tant qu'expert, le FunLab (fablab de Tours) en tant que communauté support technique, et un premier capteur et monté au fablab. La communauté rennaise est également contactée afin qu'ils partagent les enseignements de leur projet avec le groupe de stagiaires en formation.
Il est alors prévu une succession d'événement :
Malheureusement, le second confinement fin 2020 a rendu impossible le lancement de la campagne lors de la formation et seul un temps public de présentation a pu être mené dans le cadre des Human Tech Days. Ensuite avec les contraintes sanitaire persistantes, les quelques personnes motivées par l'aventure ne souhaitent plus poursuivre.
Ce qui a été réalisé :
Dans le cadre de la formation Découverte des Métiers du Numérique, les apprenants étant à chaque promotion accompagnés à la réalisation d'un projet en groupe, à l'automne 2020, Romain Lalande et Laurence Picado, qui animent en partie cette formation avec Artefacts, décident de soumettre au groupe un projet autour de capteurs citoyens de qualité de l'air.
D'autres expériences citoyennes en la matière les a effectivement inspiré et ils voient dans la formation une bonne occasion d'initier la dynamique à Tours. Lig'Air est contacté en tant qu'expert, le FunLab (fablab de Tours) en tant que communauté support technique, et un premier capteur et monté au fablab. La communauté rennaise est également contactée afin qu'ils partagent les enseignements de leur projet avec le groupe de stagiaires en formation.
Il est alors prévu une succession d'événement :
- une campagne de financement participatif "adopte un capteur"
- des ateliers de fabrication pour aider les participants à monter leurs capteurs
- une série de temps de travail pour s'acculturer au sujet, partager les questions que se posent les gens sur le territoire avec Lig'Air afin qu'ils nous accompagnent à trouver des moyens pour y répondre, potentiellement avec des capteurs citoyens.
- des captation mobile sur différents trajets pour identifier les pollutions des trajets cyclistes domicile-travail
Malheureusement, le second confinement fin 2020 a rendu impossible le lancement de la campagne lors de la formation et seul un temps public de présentation a pu être mené dans le cadre des Human Tech Days. Ensuite avec les contraintes sanitaire persistantes, les quelques personnes motivées par l'aventure ne souhaitent plus poursuivre.
Ce qui a été réalisé :
- Le groupe en formation Découverte Métiers du numérique a pu mettre en place un site internet dédié au projet ainsi qu'une charte graphique associée, un argumentaire lié au projet et un tutoriel de montage des capteurs
- Soutien financier (finalement annulé) de la région pour acheter de premiers capteurs
- Organisation d'une conférence de présentation
Qu'est-ce qui a marché ? Quels en sont les enseignements ? Quelles perspectives pour la suite?
Dans le cadre de ce projet, nous avons surtout bien compris que les capteurs en tant que tels n'avaient que peu d'intérêt, ce qui était intéressant, c'était d'accompagner les gens qui se posent des question sur la qualité de l'air dans une démarche d'enquête, et potentiellement à l'aide de capteur mais sûrement aussi grâce à des données déjà disponibles.
Auteur.ices de la fiche
Romain lalande
2020 - 2022 | Court métrage en Stop Motion
2020 - 2022 | Court métrage en Stop Motion
Nom de l'action
Court métrage en Stop Motion
Territoire concerné par l'action
- Quartier Prioritaire
- Local - bassin de vie de Tours
Structures et acteurs impliqués
Espace Passerelles
Année de lancement
2020
Action toujours en cours ?
Non
Année de fin
2022
En quoi consiste l'action ?
Decouvrir l'audiovisuel pendant les vacances scolaires. Découvrir les appareils numeriques lors de la réalistion d'un court métrage : logiciel montage, imprimante 3D, photo…et participer au festival Nikon.
Quel en a été l'historique (origines, objectifs / intentions de départ, évolutions depuis le lancement, ...) ?
Creer un film en Stop Motion pour remobiliser des jeunes autour d'un projet, puis le mettre en lumière lors d'un festival. l'idée est de creer avec les outils numériques, les personnages avec l'imprimantes 3d
et d'appréhender l'univers audiovisuel ( caméra, storyboard, lumière, montage etc...).
et d'appréhender l'univers audiovisuel ( caméra, storyboard, lumière, montage etc...).
Quelles ont été les difficultés ou les limites observées
Créer un groupe de jeunes réguliers, car chacun etait libre de venir ou pas.
Qu'est-ce qui a marché ? Quels en sont les enseignements ? Quelles perspectives pour la suite?
Il faut un groupe assez motivés pour plus de confort pour aller au bout du projet.
Auteur.ices de la fiche
Flow
2021 - | Ateliers numériques - Claude Bernard
2021 - | Ateliers numériques - Claude Bernard
Nom de l'action
Ateliers numériques - Claude Bernard
Territoire concerné par l'action
- Quartier Prioritaire
- Local - bassin de vie de Tours
Structures et acteurs impliqués
Ecole Claude Bernard, Ville de Tours, centre social Plurielles
Année de lancement
2021
Action toujours en cours ?
Oui
En quoi consiste l'action ?
L'action permet une première approche des outils numériques à destination des parents de l'école. L'objectif étant qu'ils gagnent en autonomie et puisse effectuer leurs démarches en ligne (tels que l'accés à l'ENT de leurs enfants). Une permanence a lieu tout les mardis de 14h à 16h dans l'école Claude Bernard (hors vancances scolaire).
Quel en a été l'historique (origines, objectifs / intentions de départ, évolutions depuis le lancement, ...) ?
Le besoin se manifestait depuis un moment et les permanences ont débuté en octobre 2021. Ce projet concistait à mettre à disposition une salle informatique au sein de l'école avec la présence de l'animatrice numérique du centre social Plurielles afin d'accompagner les parents.
Les objectifs étant de :
Le lieu a été choisi afin de faciliter la venu des parents, dans un lieu familier, pour qu'ils puissent apprendre et s'entrainer tout en étant accompagnés.
La communication avec les parents est faite par sms ou via le carnet des enfants par la directrice. Des flyers ont été distribués à la sortie de l'école et dans les carnets.
Les objectifs étant de :
- Rompre la fracture numérique
- Faciliter les démarches en lignes
- Faire gagner en autonomie
- Amener une première approche de l'outil numérique
Le lieu a été choisi afin de faciliter la venu des parents, dans un lieu familier, pour qu'ils puissent apprendre et s'entrainer tout en étant accompagnés.
La communication avec les parents est faite par sms ou via le carnet des enfants par la directrice. Des flyers ont été distribués à la sortie de l'école et dans les carnets.
Quelles ont été les difficultés ou les limites observées
Malgrès un réel besoin et une demande des parents il reste difficile de mobiliser du monde. La fréquentation reste faible.
Qu'est-ce qui a marché ? Quels en sont les enseignements ? Quelles perspectives pour la suite?
Le besoin est là. Une personne revient régulièrement, pour s'entrainer au clavier. A l'origine il était prévu des temps avec des sujets précis. Finalement au vu de la fréquentation un format individuel s'est installé.
Il est prévu de continuer à la rentrée.
Il est prévu de continuer à la rentrée.
Auteur.ices de la fiche
Agnès Dordoigne, Sam Rocheron
2021 - | Conseiller numérique
2021 - | Conseiller numérique
Nom de l'action
Conseiller numérique
Territoire concerné par l'action
- Local - bassin de vie de Tours
Structures et acteurs impliqués
CCAS de Tours
Année de lancement
2021
Action toujours en cours ?
Oui
En quoi consiste l'action ?
Accompagner les publics précaires et les personnes âgées à l'utilisation du numérique
Auteur.ices de la fiche
Jean Baptiste
2021 - | Hub-Lo : animation du réseau des acteurs de la médiation numérique
2021 - | Hub-Lo : animation du réseau des acteurs de la médiation numérique
Nom de l'action
Hub-Lo : animation du réseau des acteurs de la médiation numérique
Territoire concerné par l'action
- Régional
- Départemental
Structures et acteurs impliqués
Tous les acteurs, structures, élus qui accomapgnent des publics dans les usages du numériques
Année de lancement
2021
Action toujours en cours ?
Oui
En quoi consiste l'action ?
Face au constat qu'il existe de nombreux services, ateliers, propositions pour lutter contre la fracture du numérique et aider les citoyens à développer leurs compétences numériques, la Région s'est dotée d'une animation de réseau pour rendre plus lisbles, cohérents les actions. Il s'agit d'animer en local l, sur les bassins de vie : Tours, Loches, Chinon, Amboise des rencontres invitant autour de la table : des professionnels du champ social, de l'insertion, de l'emploi, des associations... des élus, pour des temps d'interconnaissance, identification des besoins en formation, informations sur l'actualité ...
Quel en a été l'historique (origines, objectifs / intentions de départ, évolutions depuis le lancement, ...) ?
Les structures, professionnels concernés sont : les Tiers-lieux, fab lab, maison France Service, des EPN, associations, médiathèque, CAF, mission locale, pôle emploi...
Lancé depuis 09/2021 labelisé et financé par l’ANCT et la banque des territoires
Dispositif financé par CPER,des fonds FEDER et la région Centre.
En 2019-20 : phase de préfiguration avec la redaction d’état des lieux et des préconisations sur chacun des des bassins de vie (monographie)
Le Hub-Lo est le nom donné au réseau des acteurs de l'inclusion numérique, en réion Centre Val de Loire. Une chargée de mission est recrutée depuis octobre 2021 pour animer le réseau sur chacun des départements.
Concrétement le HUub-Lo met en place :
- des rencontres d'interconnaissance
- identification des besoins en formation et accompagnement sur les réponses
- identification des besoins, priorités sur le territoire en matiere de médiation
- informer et faciliter la mise en oeuvre des dispositifs d'Etat : CNFS, AIDANTS CONNECT,Pass numérique...
La finalité : concretiser les temps d’echange dans une feuille de route qui difinit les priorités et les fiches action sur chacun des bassin de vie : un Projet numérique de territoire.
Le site https://inclusion-numerique-37.fr, est également une 'gare centrale'- ou plateforme de coopération, qui centralise les actions du Hub-Lo, sur le 37. On y retrouver l'actualité du réseau, les prochaines rencontres, les compte-rendus des rencontres, les outils d'accompagnement, les actions .....
Lancé depuis 09/2021 labelisé et financé par l’ANCT et la banque des territoires
Dispositif financé par CPER,des fonds FEDER et la région Centre.
En 2019-20 : phase de préfiguration avec la redaction d’état des lieux et des préconisations sur chacun des des bassins de vie (monographie)
Le Hub-Lo est le nom donné au réseau des acteurs de l'inclusion numérique, en réion Centre Val de Loire. Une chargée de mission est recrutée depuis octobre 2021 pour animer le réseau sur chacun des départements.
Concrétement le HUub-Lo met en place :
- des rencontres d'interconnaissance
- identification des besoins en formation et accompagnement sur les réponses
- identification des besoins, priorités sur le territoire en matiere de médiation
- informer et faciliter la mise en oeuvre des dispositifs d'Etat : CNFS, AIDANTS CONNECT,Pass numérique...
La finalité : concretiser les temps d’echange dans une feuille de route qui difinit les priorités et les fiches action sur chacun des bassin de vie : un Projet numérique de territoire.
Le site https://inclusion-numerique-37.fr, est également une 'gare centrale'- ou plateforme de coopération, qui centralise les actions du Hub-Lo, sur le 37. On y retrouver l'actualité du réseau, les prochaines rencontres, les compte-rendus des rencontres, les outils d'accompagnement, les actions .....
Quelles ont été les difficultés ou les limites observées
Identifier- contacter les professionnels pour constituer un fichier représentatif, complet sur les 4 bassins d’Indre et Loire
Identifier les élus (communautés de communes, et-ou communes) concernés par le numérique.
Susciter l’interet de se réunir, de se rencontrer
Construire un méthode pour accompagner ces collectifs à l’elaboration
d’un projet numérique de terrirtoire ( ex : comment identifier que le groupe est prêt
à la rédaction?).
Identifier les élus (communautés de communes, et-ou communes) concernés par le numérique.
Susciter l’interet de se réunir, de se rencontrer
Construire un méthode pour accompagner ces collectifs à l’elaboration
d’un projet numérique de terrirtoire ( ex : comment identifier que le groupe est prêt
à la rédaction?).
Qu'est-ce qui a marché ? Quels en sont les enseignements ? Quelles perspectives pour la suite?
La nécessité d’acculturer les élus aux enjeux du numérique
Auteur.ices de la fiche
Lydie Cassaigne
2021 - | PTCA 37 Inclusion Numérique
2021 - | PTCA 37 Inclusion Numérique
Nom de l'action
PTCA 37 Inclusion Numérique
Territoire concerné par l'action
- Départemental
Structures et acteurs impliqués
ID 37, CAF 37, La ligue 37, à compléter
Année de lancement
2021
Action toujours en cours ?
Oui
En quoi consiste l'action ?
Le collectif PTCA 37 s’est constitué autour de l’envie de créer un pôle de coopération associatif visant le développement d’une stratégie collective d’inclusion numérique en Indre et Loire.
Le projet trouve ses origines dans trois constats :
Afin d’améliorer cette situation, la CAF, la Ligue de l’Enseignement et ID37 initient une démarche collective dès 2020 afin de réunir des acteurs autour d’actions concrètes pour agir en réseau et faciliter le travail quotidien de chacun de manière immédiate.
Après une campagne d’entretiens, plusieurs temps de rencontre et de co-construction et des échanges nourris avec différents financeurs, le projet de PTCA se concrétise via 3 chantiers (parmis les 6 identifiés) qui se lancent dès l’été 2021 :
Le projet trouve ses origines dans trois constats :
- il existe une profusion d’initiatives associatives, citoyennes ou institutionnelles qui font exister le sujet de l’inclusion numérique en Indre et Loire;
- de nombreuses politiques publiques sont actives en faveur de l’inclusion et de la transition numérique;
- ces dynamiques sont encore trop cloisonnées et peinent à se rencontrer dans le cadre de ce qui pourrait être une véritable stratégie commune de territoires.
Afin d’améliorer cette situation, la CAF, la Ligue de l’Enseignement et ID37 initient une démarche collective dès 2020 afin de réunir des acteurs autour d’actions concrètes pour agir en réseau et faciliter le travail quotidien de chacun de manière immédiate.
Après une campagne d’entretiens, plusieurs temps de rencontre et de co-construction et des échanges nourris avec différents financeurs, le projet de PTCA se concrétise via 3 chantiers (parmis les 6 identifiés) qui se lancent dès l’été 2021 :
- La cartographie des services d’inclusion numérique
- L’organisation d’un événement de rencontre inter-acteurs
- L’initiation d’un travail de production de ressources autour de la thématique des logiciels libres pour les associations
Ces actions sont menées par des groupes de travail constitués d’acteurs volontaires en Indre et Loire (une quinzaine de structures impliquées) et sont animées par un salarié à mi-temps entre septembre et décembre 2021.
Pour aller plus loin
Un historique viendra bientôt compléter cette rpésentation succinte, en attendant, vous pouvez retrouver le document initial présenté suite à la rencontre fondatrice en janvier 2021 :
Auteur.ices de la fiche
Romain Lalande
2021 - | SOLIMAKERS à la Ligue de l’Enseignement
2021 - | SOLIMAKERS à la Ligue de l’Enseignement
Nom de l'action
SOLIMAKERS à la Ligue de l’Enseignement
Territoire concerné par l'action
- Départemental
- Local - bassin de vie de Tours
Structures et acteurs impliqués
La ligue 37, Greta 37, Informatique Participative
Année de lancement
2021
Action toujours en cours ?
Oui
En quoi consiste l'action ?
Projet porté par la ligue 37 en partenariat avec le GRETA et asso info participative, acteurs travaillant déjà avec la Ligue sur le sujet de l’inclusion numérique. L’idée de base était de partir sur l’existence du FAB-LAB qui serait un Fab-Lab de découverte et d’éducation populaire en travaillant notamment auprès d’un public jeune en insertion sociale et professionnelle.
La Fondation ORANGE sera financeur du projet FAB-LAB Solidaire. L’idée du parcours SOLIMAKERS était de le faire en trois niveaux différents
Le parcours SOLIMAKERS est à destination des jeunes en insertion sociale et professionnelle afin de leur permettre de découvrir des compétences, la notion de projet et de le faire en groupe.
La finalité de ce parcours est non pas que le jeune devienne un FAB-LAB manager mais qu’il se serve de cela comme une étape à son insertion professionnelle.
Les jeunes participant au parcours SOLIMAKERS vont s’interroger sur les notions de développement durable. En effet, les jeunes vont pouvoir réutiliser le textile et venir créer des projets conséquents selon les niveau de parcours autour du réemploi de textile. Cela se fait notamment en utilisant les machines du FAB-LAB : Presse à chaud, brodeuse numérique etc.
La Fondation ORANGE sera financeur du projet FAB-LAB Solidaire. L’idée du parcours SOLIMAKERS était de le faire en trois niveaux différents
- 1) Découverte du FAB-LAB (3 demie journée) : Qu’est-ce que c’est qu’un FAB-LAB ? Qu’est- qu’un ordinateur ? Découvertes de machines et tests.
- 2) Initiation (4 journées complètes)
- 3) Perfectionnement pour une notion de projet (9 jours) : Le but étant de faire un défilé avec le recyclage de tissus.
Le parcours SOLIMAKERS est à destination des jeunes en insertion sociale et professionnelle afin de leur permettre de découvrir des compétences, la notion de projet et de le faire en groupe.
La finalité de ce parcours est non pas que le jeune devienne un FAB-LAB manager mais qu’il se serve de cela comme une étape à son insertion professionnelle.
Les jeunes participant au parcours SOLIMAKERS vont s’interroger sur les notions de développement durable. En effet, les jeunes vont pouvoir réutiliser le textile et venir créer des projets conséquents selon les niveau de parcours autour du réemploi de textile. Cela se fait notamment en utilisant les machines du FAB-LAB : Presse à chaud, brodeuse numérique etc.
Quel en a été l'historique (origines, objectifs / intentions de départ, évolutions depuis le lancement, ...) ?
Le but était de rendre le Fab-Lab accessible aux jeunes ainsi que les technologies se trouvant dedans sans être « un geek ». Le parcours s’adresse au 16 à 30 ans qui sont dans des parcours d’insertion.
Quelles ont été les difficultés ou les limites observées
La mobilisation des jeunes. Compliqué d’amener ce parcours à des jeunes qui ne font pas de numérique. Difficulté d’amener une action nouvelle.
Qu'est-ce qui a marché ? Quels en sont les enseignements ? Quelles perspectives pour la suite?
Les participants avaient un réel intérêt sur les parcours SOLIMAKER. On voit aussi que la question sous-jacente de la réutilisation du textile est un sujet intéressant chez les jeunes.
Des perspectives ? Continuer et développer l’action dans les années à venir avec pour idée que les parcours débouchent de la mise en place d’une journée sur la sensibilisation au réemploi. Les jeunes seront à la manette de cette journée : mettre en avant les créations, qu’ils présentent le Fab-Lab. L’objectif est de valoriser aussi en version grand public ce qu’il peut être fait : je suis acteur du projet et voilà ce que ça fait par la suite.
Des perspectives ? Continuer et développer l’action dans les années à venir avec pour idée que les parcours débouchent de la mise en place d’une journée sur la sensibilisation au réemploi. Les jeunes seront à la manette de cette journée : mettre en avant les créations, qu’ils présentent le Fab-Lab. L’objectif est de valoriser aussi en version grand public ce qu’il peut être fait : je suis acteur du projet et voilà ce que ça fait par la suite.
Auteur.ices de la fiche
Julien Courtes & Marianne Beurton
2021 - 2021 | Concours de courts métrages sur la thématique « Théorie du complot ».
2021 - 2021 | Concours de courts métrages sur la thématique « Théorie du complot ».
Nom de l'action
Concours de courts métrages sur la thématique « Théorie du complot ».
Territoire concerné par l'action
- Départemental
Structures et acteurs impliqués
Centre social Pluriel(le)s de Tours, Centre social Gireaudau-Bastié de Tours, Centre social Rabière de Joué-Lès-Tours, Centre social Puzzle de Reignac, Cinéma Les Studios, BIJ (Bureau d’Information Jeunesse), Ligue de l’enseignement, Ciclic, CAF, DSDJS
Année de lancement
2021
Action toujours en cours ?
Non
Année de fin
2021
En quoi consiste l'action ?
Organiser un concours de films suivi de débats sur le thème de la théorie du complot : concours avec jury et prix à remporter.
Les Promeneurs du Net volontaires ont constitué un groupe de jeunes dans leur structure respective et les ont encadrés pour qu’ils puissent réaliser un film destiné au concours. En parallèle les PDN étaient formés à la réalisation et au montage.
Les Promeneurs du Net volontaires ont constitué un groupe de jeunes dans leur structure respective et les ont encadrés pour qu’ils puissent réaliser un film destiné au concours. En parallèle les PDN étaient formés à la réalisation et au montage.
Quel en a été l'historique (origines, objectifs / intentions de départ, évolutions depuis le lancement, ...) ?
Les Promeneurs du Net (PDN) est un dispositif qui vise à apporter une présence éducative sur l’espace numérique. Le BIJ et la Ligue de l’enseignement sont chargés de sa mise en place dans le département. C’est dans ce cadre que Kévin MBIZI (Ligue) et Chloé DIME (BIJ) accompagnent et forment les professionnels de la jeunesse à échanger avec leur public via ou autour des outils numériques, à les utiliser comme outils de médiation.
Les deux animateurs du réseau ont voulu créer un temps fort pour les PDN et leurs publics. Pour cette action précise, l’idée était d’avoir un temps de création, un temps du « faire », de construire un projet commun au lieu d’être seulement dans la formation, les conférences etc.
Un groupe de PDN volontaires s’est constitué. Beaucoup d’entre eux étaient formés à la réalisation, de là est venu l’idée de faire un concours de films. Avec l’envie que ce soit drôle et ludique, qu’il y ait des jeunes, qu’ils se rencontrent, que leurs familles soient invitées. L’idée était d’y aller par étape, de faire avec eux, de prendre des décisions ensemble, et de voir le projet avancer progressivement.
Le choix de la thématique « Théorie du complot » n’était pas anodin : dans le dispositif PDN il y a un gros volet « éducation aux médias ». C’était donc un sujet pertinent, pour sensibiliser les jeunes, les accompagner à comprendre les informations du Net et via les réseaux sociaux.
Le groupe a donc répondu à l’appel à projet « Passeurs d’images » de Ciclic.
La préparation du projet a évolué positivement sur une année scolaire jusqu’au jour du concours le 1er octobre 2021. C’était une soirée de projection-débats et les films ont été récompensés par des oscars.
Contexte et origine de l’action
Un groupe de PDN volontaires s’est constitué. Beaucoup d’entre eux étaient formés à la réalisation, de là est venu l’idée de faire un concours de films. Avec l’envie que ce soit drôle et ludique, qu’il y ait des jeunes, qu’ils se rencontrent, que leurs familles soient invitées. L’idée était d’y aller par étape, de faire avec eux, de prendre des décisions ensemble, et de voir le projet avancer progressivement.
Le choix de la thématique « Théorie du complot » n’était pas anodin : dans le dispositif PDN il y a un gros volet « éducation aux médias ». C’était donc un sujet pertinent, pour sensibiliser les jeunes, les accompagner à comprendre les informations du Net et via les réseaux sociaux.
Le groupe a donc répondu à l’appel à projet « Passeurs d’images » de Ciclic.
L’évolution
Quelles ont été les difficultés ou les limites observées
Le principal souci résidait dans la difficulté à se réunir tous au même moment : les PDN avaient d’autres projets dans leur structure respective. Ils manquaient de temps pour se consacrer pleinement à cette dynamique de groupe. La logistique a donc beaucoup reposé sur les animateurs.
Une autre difficulté était de susciter l’intérêt des jeunes sur ce projet d’éducation à l’image, de fakes news, etc. Ce n’était pas toujours simple.
A part ce côté laborieux de l’organisation, il n’y a pas eu de côté négatif.
Une autre difficulté était de susciter l’intérêt des jeunes sur ce projet d’éducation à l’image, de fakes news, etc. Ce n’était pas toujours simple.
A part ce côté laborieux de l’organisation, il n’y a pas eu de côté négatif.
Qu'est-ce qui a marché ? Quels en sont les enseignements ? Quelles perspectives pour la suite?
- Tous les participants se connaissent mieux : c’est important.
- Les jeunes ont pu être impliqués, ce qui rend tangible l’utilité du réseau.
- Quand les formations étaient mises en place, notamment celles liées à la réalisation de courts métrages, les PDN sont venus y compris ceux qui n’ont pas participé au projet final.
- La soirée a été une réussite notamment grâce à la diversité du public le jour « J ». Les familles, les gens qu’on sent éloignés de la culture, ceux éloignés physiquement du lieu du concours situé à Tours (Joué-Lès-Tours, Reignac…) ont fait le déplacement. Wanted TV a immortalisé le moment sous forme d’un court reportage.
Il faudrait mieux gérer la temporalité, pour un rythme régulier : les réunions étaient trop éloignées ou trop rapprochées. Dans le même sens, mieux définir le calendrier pour que les gens aient une meilleure visibilité du temps que prendra le projet et qu’ils puissent s’investir au mieux.
- Vérifier que la date de la soirée convienne à tous en sondant le public.
- S’assurer que la thématique intéresse les participants.
- Rassurer les participants sur le concours : c’est un concours amateur. Il existe des ressources destinées à faciliter la réalisation de films. Donc pas d’inquiétudes. (Tous les films ont gagné un prix.)
- S’assurer que les PDN disposent du matériel nécessaire à la réalisation de films. Dans ce cas, tous les partenaires avaient du matériel à disposition. Si ça n’avait pas été le cas, le BIJ aurait pu mettre à disposition le matériel tout en les assistant dans la manipulation.
- La soirée projection-débats a fonctionné car on il y avait que 6 films à visionner. Par contre, s’il y a plus de films, il faut trouver une autre formule pour valoriser tous les courts métrages tout en maintenant des temps d’échanges de de débats.
Malgré le succès du projet, il n’y a pas eu les répercussions attendues. Les animateurs pensaient que l’action allait donner envie à d’autres structures de se lancer, mais non. Les animateurs n’ont donc pas réussi à mobiliser des participants pour garder cette dynamique collective. L’explication la plus plausible en est que le covid a distendu les relations des réseaux.
Merci à Kévin Mbizi médiateur numérique et Chloé Dimé animatrice du réseau départemental.
Les réussites
- Les jeunes ont pu être impliqués, ce qui rend tangible l’utilité du réseau.
- Quand les formations étaient mises en place, notamment celles liées à la réalisation de courts métrages, les PDN sont venus y compris ceux qui n’ont pas participé au projet final.
- La soirée a été une réussite notamment grâce à la diversité du public le jour « J ». Les familles, les gens qu’on sent éloignés de la culture, ceux éloignés physiquement du lieu du concours situé à Tours (Joué-Lès-Tours, Reignac…) ont fait le déplacement. Wanted TV a immortalisé le moment sous forme d’un court reportage.
Les enseignements/points à améliorer
Les conseils aux autres structures qui voudraient mener la même action
- S’assurer que la thématique intéresse les participants.
- Rassurer les participants sur le concours : c’est un concours amateur. Il existe des ressources destinées à faciliter la réalisation de films. Donc pas d’inquiétudes. (Tous les films ont gagné un prix.)
- S’assurer que les PDN disposent du matériel nécessaire à la réalisation de films. Dans ce cas, tous les partenaires avaient du matériel à disposition. Si ça n’avait pas été le cas, le BIJ aurait pu mettre à disposition le matériel tout en les assistant dans la manipulation.
- La soirée projection-débats a fonctionné car on il y avait que 6 films à visionner. Par contre, s’il y a plus de films, il faut trouver une autre formule pour valoriser tous les courts métrages tout en maintenant des temps d’échanges de de débats.
Les perspectives pour la suite
Merci à Kévin Mbizi médiateur numérique et Chloé Dimé animatrice du réseau départemental.
Ressources : personnes, adresses, sites web, images . . .
06 36 12 21 79
chloe.dime@bij37.fr
Bureau Information Jeunesse 37
02 47 64 69 13
Cassandre Barbotteau
cbarbotteau@fol37.org
Ligue de l’enseignement 37
02 47 05 44 28
Site web des Promeneurs du Net
Le Ciclic Accompagne autour de la vidéo et courts-métrages, a formé les PDN sur la réalisation de vidéos.
Upopi (Université Populaire des Images) Dispose de ressources en ligne pour animer des ateliers autour du cinéma et de la création de films.
Bureau Information Jeunesse 37 Le BIJ possède du matériel de réalisation vidéo, assiste et conseille les PDN, met en place des ressources, de temps de formation au montage vidéo entre autres.
Pour en savoir plus...
Contacts utiles
Chloé Dimé06 36 12 21 79
chloe.dime@bij37.fr
Bureau Information Jeunesse 37
02 47 64 69 13
Cassandre Barbotteau
cbarbotteau@fol37.org
Ligue de l’enseignement 37
02 47 05 44 28
Liens ressources
Article sur le concours de films et vidéo de la soirée réalisée par Wanted TVSite web des Promeneurs du Net
Le Ciclic Accompagne autour de la vidéo et courts-métrages, a formé les PDN sur la réalisation de vidéos.
Upopi (Université Populaire des Images) Dispose de ressources en ligne pour animer des ateliers autour du cinéma et de la création de films.
Bureau Information Jeunesse 37 Le BIJ possède du matériel de réalisation vidéo, assiste et conseille les PDN, met en place des ressources, de temps de formation au montage vidéo entre autres.
Quelques souvenirs en photos
Auteur.ices de la fiche
Assia Lazar
2021 - 2021 | Le mois de la fabrication distribuée
2021 - 2021 | Le mois de la fabrication distribuée
Nom de l'action
Le mois de la fabrication distribuée
Territoire concerné par l'action
- Nationnal
Structures et acteurs impliqués
France Tiers-Lieux, l'ANCT, le Réseau Français des Fablabs
Année de lancement
2021
Action toujours en cours ?
Non
Année de fin
2021
En quoi consiste l'action ?
France TIERS LIEUX, le Réseau Français des Fablabs et l'Agence nationale de la cohésion des territoires - ANCT s’associent pour lancer le Mois de la Fabrication Distribuée. Un projet inédit puisqu’il s’agit de la première expérimentation à l’échelle nationale de la fabrication distribuée.
L'initiative met en lien des tiers-lieux, fablabs et makers, artisans... qui souhaitent fabriquer du mobilier d'inclusion numérique, et des collectivités qui souhaitent se doter de mobilier.
Cette initiative a été lancée dans toute la France.
Il faut s'inscrire sur le site pour participer >> https://design-ouvert.societenumerique.gouv.fr/
Clôture des pré-commandes : 31 janvier 2022
L'initiative met en lien des tiers-lieux, fablabs et makers, artisans... qui souhaitent fabriquer du mobilier d'inclusion numérique, et des collectivités qui souhaitent se doter de mobilier.
Cette initiative a été lancée dans toute la France.
Il faut s'inscrire sur le site pour participer >> https://design-ouvert.societenumerique.gouv.fr/
Clôture des pré-commandes : 31 janvier 2022
Auteur.ices de la fiche
La FUN - La Fabrique d'Usages Numériques
2021 - 2021 | Pour parler du jeu, Créons-en
2021 - 2021 | Pour parler du jeu, Créons-en
Nom de l'action
Pour parler du jeu, Créons-en
Territoire concerné par l'action
- Local - bassin de vie de Tours
Structures et acteurs impliqués
Palo Altours, Ciclique, La F.U.N.
Année de lancement
2021
Action toujours en cours ?
Non
Année de fin
2021
En quoi consiste l'action ?
"Le jeu qui provoque des choses" est un regard sur l'usage du jeu vidéo dans un autre contexte que celui ludique :
Pour développer les sujets évoqués, nottement l'usage du jeu comme un moyen de s'affranchir des difficultés à aborder l'éléctronique, mais aussi pour démystifier le jeu et ses fonctionnements, l'association à developpé un stage avec des adolescents agés de 11 à 14 ans pour créer un jeu vidéo entiérement
Sur une base de 4 demi-journée, les apprenants ont pu réaliser un jeu. Bien que certaines parties ont du être sacrifiées durant la production, ils ont pu aborder chaque étape de la création et s'organiser autour des problématiques techniques et humaines pour produire une version jouable qu'ils ont eux même présenter a leurs compères.
College Students Still Reject Hookup Culture
Date-onomics: Dating By the Numbers
You May Want to Add This to Your Online Profile
What is Personal Empowerment, and How Can You Live It?
A Normal Male Reproductive Strategy?
The Pervasive Sexual Objectification of Professional Women
Chivalry and Dating Don’t Mix
A Hooking Up Smart Success Story
Great Sex Does Not Inspire Commitment
- les jeux comme outil (serious-game, gamification, …),
- les jeux comme moyen d’expression,
- les jeux comme support de médiation (thérapeutiques, culturelles ou autres).
Pour développer les sujets évoqués, nottement l'usage du jeu comme un moyen de s'affranchir des difficultés à aborder l'éléctronique, mais aussi pour démystifier le jeu et ses fonctionnements, l'association à developpé un stage avec des adolescents agés de 11 à 14 ans pour créer un jeu vidéo entiérement
Sur une base de 4 demi-journée, les apprenants ont pu réaliser un jeu. Bien que certaines parties ont du être sacrifiées durant la production, ils ont pu aborder chaque étape de la création et s'organiser autour des problématiques techniques et humaines pour produire une version jouable qu'ils ont eux même présenter a leurs compères.
College Students Still Reject Hookup Culture
Date-onomics: Dating By the Numbers
You May Want to Add This to Your Online Profile
What is Personal Empowerment, and How Can You Live It?
A Normal Male Reproductive Strategy?
The Pervasive Sexual Objectification of Professional Women
Chivalry and Dating Don’t Mix
A Hooking Up Smart Success Story
Great Sex Does Not Inspire Commitment
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Martin Gasque
2021 - 2022 | Accompagnement "Numérique Ethique"
2021 - 2022 | Accompagnement "Numérique Ethique"
Nom de l'action
Accompagnement "Numérique Ethique"
Territoire concerné par l'action
- Régional
Structures et acteurs impliqués
La Labomedia, La F.U.N.
Année de lancement
2021
Action toujours en cours ?
Non
Année de fin
2022
En quoi consiste l'action ?
FuturÉtic est un service proposé par des associations qui s’adresse en premier lieu aux structures de la région Centre-Val de Loire mais est ouvert à tout.e.s.
Les services proposés tournent autour de la dé-gafamisation et la prolifération d'installations auto-hebergé de services informatiques libres
Cela passe par la mise en place d'un outil de communication tel que Big Blue Button a la place de Zoom, Nextcloud a la place de Google Drive, Mattermost a la place de Microsoft Teams ou encore Peertube a la place de Youtube.
Bien d'autres outils d'autant plus important pour certaines structures tel que Dokos qui permet la gestion des stock, la gestion comptable ou la gestion d'un lieu (adhésions, réservations...) sont également disponibles pour couvrir tout les besoins des acteurs du circuit associatif
Ces services sont proposés la plupart du temps gratuitement, certains comme le stockage de fichiers plus gourmands en espace sont proposés à un tarif solidaire pour en assurer la pérennité.
Les services proposés tournent autour de la dé-gafamisation et la prolifération d'installations auto-hebergé de services informatiques libres
Cela passe par la mise en place d'un outil de communication tel que Big Blue Button a la place de Zoom, Nextcloud a la place de Google Drive, Mattermost a la place de Microsoft Teams ou encore Peertube a la place de Youtube.
Bien d'autres outils d'autant plus important pour certaines structures tel que Dokos qui permet la gestion des stock, la gestion comptable ou la gestion d'un lieu (adhésions, réservations...) sont également disponibles pour couvrir tout les besoins des acteurs du circuit associatif
Ces services sont proposés la plupart du temps gratuitement, certains comme le stockage de fichiers plus gourmands en espace sont proposés à un tarif solidaire pour en assurer la pérennité.
Auteur.ices de la fiche
Martin Gasque
2022 - | Accueil de jeunes en Service civique
2022 - | Accueil de jeunes en Service civique
Nom de l'action
Accueil de jeunes en Service civique
Territoire concerné par l'action
- Local - bassin de vie de Tours
Structures et acteurs impliqués
Maison Départementale de la Solidarité Dublineau, Maison Départementale de la Solidarité des Fontaines
Année de lancement
2022
Action toujours en cours ?
Oui
En quoi consiste l'action ?
Recrutement et accueil de jeunes en Service civique à la Maison des Solidarités de Tours Dublineau et à la MDS des Fontaines.
Quel en a été l'historique (origines, objectifs / intentions de départ, évolutions depuis le lancement, ...) ?
Une Maison Départementale de la Solidarité (MDS) est un lieu d’accompagnement pour tous les publics, quel que soit leur tranche d’âge, rencontrant des difficultés d’ordre social, éducatif, familial ou budgétaire. Elle permet de rencontrer des professionnels du Conseil départemental compétents pour les aider.
La MDS de Dublineau appartient au territoire Tours Sud Loire qui comprend aussi les sites de Mame et des Fontaines.
Dans chaque MDS on y trouve :
- Le Pôle Protection Maternelle et Infantile
- Le Pôle Enfance
- Le Pôle Insertion : accompagnement des bénéficiaires du RSA
- Le Pôle Action Sociale avec des assistantes sociales, des conseillères en économie sociale et familiales, des secrétaires.
Origine du recrutement d’un SV Besoins identifiés
Notre public est souvent fragile et en difficulté, et bon nombre de personnes ne maîtrisent pas le français et l’écrit.
Lors de leurs accompagnements, les travailleurs sociaux sont très sollicités par les gens pour faire leurs démarches numériques et s’aperçoivent que ceux-ci, par manque de connaissance, ne font pas valoir leurs droits. Alors, ne pouvant faire face seuls à la masse des demandes qui ne cessent de croître, les travailleurs sociaux les orientent vers les France Services.
Si certains se dirigent vers ces partenaires, pour la majorité, il leur est plus difficile d’aller vers un autre interlocuteur. (Parce que ça leur demande de se rendre dans un autre lieu, de réexpliquer leur situation…)
A partir de ce constat les besoins ont été identifiés : les gens passent à côté de leurs droits, ils ont des difficultés à faire leurs démarches et préfèrent garder le contact privilégié les travailleurs sociaux.
Il y a donc eu une réflexion en interne à savoir « qu’est-ce qu’on peut proposer pour accompagner les gens dans cette question ? », avec un travail de diagnostic mené avec les France Services.
De là émane l’idée de mettre en place un dispositif autour du public qui serait exécuté par des jeunes en Service civique (SV) au sein des MDS.
Ainsi, à l’échelle du territoire Tours Sud Loire, deux jeunes ont été recrutées en Service civique en novembre 2022 : Daniela au pôle insertion pour la MDS des Fontaines et Anaïs au pôle action sociale pour la MDS de Dublineau.
Leur mission : accompagner le public qui s’adresse aux MDS dans toutes les démarches numériques. En lien souvent avec l’accès aux droits : accompagner pour faire une demande de logement, les sites officiels de la Préfecture, de la Sécurité Sociale, de la CAF, etc.
L’accompagnement du public par les SV
L’accompagnement s’est travaillé progressivement. Daniela a participé à des entretiens avec les travailleurs sociaux, elle a appris pourquoi les gens venaient voir une assistante sociale, et les démarches qui en découlaient. Ensuite, soit les collègues secrétaires à l’accueil, soit les travailleurs sociaux ont pu orienter les personnes vers les SV.
Dans un premier temps, les gens rencontraient Daniela et Anaïs seulement sur rendez-vous : ce qui leur permettait d’en savoir le motif et d’anticiper la réponse à y apporter. Elles s’informaient et prenaient connaissance des démarches à mobiliser pour être en capacité de répondre à la personne en sa présence.
Après quelques mois à se familiariser avec de nombreux d’environnements informatiques, elles avaient gagné en assurance et pouvaient recevoir le public sans rendez-vous.
Accompagnement des SV dans le cadre de leur mission
L’accueil du SV dans notre service a été conçu de la manière suivante :
- Accompagner le jeune dans la découverte l’institution, lui permettre de s’approprier son nouvel l’univers,
- Faire connaissance avec l’équipe et le partenariat,
- Lui proposer des temps pour monter en compétences pour qu’il puisse accompagner les gens dans les démarches numériques.
Le premier mois, l’idée était de leur faire connaître leur environnement, de repérer et d’être repérées par les collègues, et d’aller à la rencontre des partenaires qui interviennent sur notre territoire dans le domaine du numérique.
D’abord les SV ont pu découvrir le travail des secrétaires à l’accueil et les publics de la MDS, puis celui des travailleurs sociaux. Elles ont été reçues par les partenaires : les France Services, les centres sociaux, et les EPN.
Afin qu’elles puissent monter en compétences, on a cherché parmi nos partenaires ceux qui pouvaient proposer des temps de présentation de leur site informatique pour outiller les SV : CAF, Sécurité Sociale, Carsat, Pôle Emploi… Le but était l’accumulation de connaissances dans ce domaine pour que les travailleurs sociaux puissent orienter les gens vers les SV en toute quiétude.
Les deux SV ont déployé leurs missions seules et en autonomie à la MDS des Fontaines. Le travail en binôme des SV s’est révélé pertinent : elles se sont complétées au niveau des connaissances, de la dynamique, tout en se sentant moins isolées (l’équipe compte une cinquantaine de personnes). Elles ont partagé leur quotidien, se sont échangées les informations.
Enfin, l’équipe et les tuteurs venaient en soutien si besoin.
La MDS de Dublineau appartient au territoire Tours Sud Loire qui comprend aussi les sites de Mame et des Fontaines.
Dans chaque MDS on y trouve :
- Le Pôle Protection Maternelle et Infantile
- Le Pôle Enfance
- Le Pôle Insertion : accompagnement des bénéficiaires du RSA
- Le Pôle Action Sociale avec des assistantes sociales, des conseillères en économie sociale et familiales, des secrétaires.
Origine du recrutement d’un SV Besoins identifiés
Notre public est souvent fragile et en difficulté, et bon nombre de personnes ne maîtrisent pas le français et l’écrit.
Lors de leurs accompagnements, les travailleurs sociaux sont très sollicités par les gens pour faire leurs démarches numériques et s’aperçoivent que ceux-ci, par manque de connaissance, ne font pas valoir leurs droits. Alors, ne pouvant faire face seuls à la masse des demandes qui ne cessent de croître, les travailleurs sociaux les orientent vers les France Services.
Si certains se dirigent vers ces partenaires, pour la majorité, il leur est plus difficile d’aller vers un autre interlocuteur. (Parce que ça leur demande de se rendre dans un autre lieu, de réexpliquer leur situation…)
A partir de ce constat les besoins ont été identifiés : les gens passent à côté de leurs droits, ils ont des difficultés à faire leurs démarches et préfèrent garder le contact privilégié les travailleurs sociaux.
Il y a donc eu une réflexion en interne à savoir « qu’est-ce qu’on peut proposer pour accompagner les gens dans cette question ? », avec un travail de diagnostic mené avec les France Services.
De là émane l’idée de mettre en place un dispositif autour du public qui serait exécuté par des jeunes en Service civique (SV) au sein des MDS.
Ainsi, à l’échelle du territoire Tours Sud Loire, deux jeunes ont été recrutées en Service civique en novembre 2022 : Daniela au pôle insertion pour la MDS des Fontaines et Anaïs au pôle action sociale pour la MDS de Dublineau.
Leur mission : accompagner le public qui s’adresse aux MDS dans toutes les démarches numériques. En lien souvent avec l’accès aux droits : accompagner pour faire une demande de logement, les sites officiels de la Préfecture, de la Sécurité Sociale, de la CAF, etc.
L’accompagnement du public par les SV
L’accompagnement s’est travaillé progressivement. Daniela a participé à des entretiens avec les travailleurs sociaux, elle a appris pourquoi les gens venaient voir une assistante sociale, et les démarches qui en découlaient. Ensuite, soit les collègues secrétaires à l’accueil, soit les travailleurs sociaux ont pu orienter les personnes vers les SV.
Dans un premier temps, les gens rencontraient Daniela et Anaïs seulement sur rendez-vous : ce qui leur permettait d’en savoir le motif et d’anticiper la réponse à y apporter. Elles s’informaient et prenaient connaissance des démarches à mobiliser pour être en capacité de répondre à la personne en sa présence.
Après quelques mois à se familiariser avec de nombreux d’environnements informatiques, elles avaient gagné en assurance et pouvaient recevoir le public sans rendez-vous.
Accompagnement des SV dans le cadre de leur mission
L’accueil du SV dans notre service a été conçu de la manière suivante :
- Accompagner le jeune dans la découverte l’institution, lui permettre de s’approprier son nouvel l’univers,
- Faire connaissance avec l’équipe et le partenariat,
- Lui proposer des temps pour monter en compétences pour qu’il puisse accompagner les gens dans les démarches numériques.
Le premier mois, l’idée était de leur faire connaître leur environnement, de repérer et d’être repérées par les collègues, et d’aller à la rencontre des partenaires qui interviennent sur notre territoire dans le domaine du numérique.
D’abord les SV ont pu découvrir le travail des secrétaires à l’accueil et les publics de la MDS, puis celui des travailleurs sociaux. Elles ont été reçues par les partenaires : les France Services, les centres sociaux, et les EPN.
Afin qu’elles puissent monter en compétences, on a cherché parmi nos partenaires ceux qui pouvaient proposer des temps de présentation de leur site informatique pour outiller les SV : CAF, Sécurité Sociale, Carsat, Pôle Emploi… Le but était l’accumulation de connaissances dans ce domaine pour que les travailleurs sociaux puissent orienter les gens vers les SV en toute quiétude.
Les deux SV ont déployé leurs missions seules et en autonomie à la MDS des Fontaines. Le travail en binôme des SV s’est révélé pertinent : elles se sont complétées au niveau des connaissances, de la dynamique, tout en se sentant moins isolées (l’équipe compte une cinquantaine de personnes). Elles ont partagé leur quotidien, se sont échangées les informations.
Enfin, l’équipe et les tuteurs venaient en soutien si besoin.
Quelles ont été les difficultés ou les limites observées
L’objectif était d’accompagner les gens à l’autonomie, autrement dit leur apprendre à faire les démarches par eux-mêmes. A la fin de la mission de Daniela et Anaïs, on constate que notre public est loin de cette étape : il se présente à nos services pour que l’on fasse pour lui.
Il y a une explication à cela ; faire des démarches administratives soi-même c’est prendre le risque de se tromper. Souvent les gens viennent voir un professionnel pour être rassuré sur le fait d’avoir « cocher la bonne case ».
Il faut donc revoir l’ambition de la MDS à la baisse ou réfléchir autrement.
Une autre point doit être pris en compte : on ne peut travailler qu'avec les compétences des jeunes.
Il y a une explication à cela ; faire des démarches administratives soi-même c’est prendre le risque de se tromper. Souvent les gens viennent voir un professionnel pour être rassuré sur le fait d’avoir « cocher la bonne case ».
Il faut donc revoir l’ambition de la MDS à la baisse ou réfléchir autrement.
Une autre point doit être pris en compte : on ne peut travailler qu'avec les compétences des jeunes.
Qu'est-ce qui a marché ? Quels en sont les enseignements ? Quelles perspectives pour la suite?
Les perspectives
Le bilan s'est révélé positif ; les SV ont rencontré et aidé beaucoup de personnes tout au long de leur mission.. Le projet est reconduit puisqu’il répond à un besoin.
Il faut cependant continuer à réfléchir concernant les objectifs
Actuellement, on est en recrutement de 2 SV pour poursuivre la mission développée par Anaïs et Daniela l’année dernière : ils devront travailler et réfléchir sur les outils, des propositions…
Conseils aux structures intéressées par le recrutement de SV
Comme on a été les premiers à accueillir des SV sur Tours Sud Loire, on a été amené à rencontrer nos collègues nouveaux tuteurs avec le jeune en SV pour échanger et partager notre expérience.
Dans ce cadre, on a souligné l’importance de :
- Prendre le temps de leur faire découvrir notre contexte professionnel, notre public et leurs demandes,
- Cerner leurs capacités pour définir les compétences qu’on peut leur confier, les initier sur l’utilisation des différentes applications administratives.
- Former les jeunes, leur permettre de bien se repérer dans l’équipe et de connaître notre contexte, nos missions pour ensuite pouvoir être autonomes. Autonomie importante puisque le Sv se retrouve seul avec la personne à aider.
- Favoriser les liens entre jeunes en SV qui exercent la même mission dans notre institution. Par exemple leur créer un outil « Teams » partagé pour éviter qu’ils se sentent isolés.
- Faire des points réguliers entre le tuteur et le SV.
Le bilan s'est révélé positif ; les SV ont rencontré et aidé beaucoup de personnes tout au long de leur mission.. Le projet est reconduit puisqu’il répond à un besoin.
Il faut cependant continuer à réfléchir concernant les objectifs
Actuellement, on est en recrutement de 2 SV pour poursuivre la mission développée par Anaïs et Daniela l’année dernière : ils devront travailler et réfléchir sur les outils, des propositions…
Conseils aux structures intéressées par le recrutement de SV
Comme on a été les premiers à accueillir des SV sur Tours Sud Loire, on a été amené à rencontrer nos collègues nouveaux tuteurs avec le jeune en SV pour échanger et partager notre expérience.
Dans ce cadre, on a souligné l’importance de :
- Prendre le temps de leur faire découvrir notre contexte professionnel, notre public et leurs demandes,
- Cerner leurs capacités pour définir les compétences qu’on peut leur confier, les initier sur l’utilisation des différentes applications administratives.
- Former les jeunes, leur permettre de bien se repérer dans l’équipe et de connaître notre contexte, nos missions pour ensuite pouvoir être autonomes. Autonomie importante puisque le Sv se retrouve seul avec la personne à aider.
- Favoriser les liens entre jeunes en SV qui exercent la même mission dans notre institution. Par exemple leur créer un outil « Teams » partagé pour éviter qu’ils se sentent isolés.
- Faire des points réguliers entre le tuteur et le SV.
Ressources : personnes, adresses, sites web, images . . .
Maison Départementale de la Solidarité Antenne Dublineau
24-26 rue Dublineau
37000 Tours
02 47 20 21 31
Sites internet utiles
Les maisons départementales de la solidarité
Tout savoir sur le service civique
Merci à Madame Céline Maréchaux, Responsable du Pôle Action Sociale à la Maison départementale de la solidarité, pour ce partage d'expérience.
24-26 rue Dublineau
37000 Tours
02 47 20 21 31
Sites internet utiles
Les maisons départementales de la solidarité
Tout savoir sur le service civique
Merci à Madame Céline Maréchaux, Responsable du Pôle Action Sociale à la Maison départementale de la solidarité, pour ce partage d'expérience.
Auteur.ices de la fiche
Assia Lazar
2022 - | Les Editathon de la FUN
2022 - | Les Editathon de la FUN
Nom de l'action
Les Editathon de la FUN
Territoire concerné par l'action
- Local - bassin de vie de Tours
Structures et acteurs impliqués
La Fabrique d'Usages Numériques et ses adhérents (individuels et structure)
Année de lancement
2022
Action toujours en cours ?
Oui
En quoi consiste l'action ?
Proposer des journées d’édition de contenus ouvertes à toute et tous dans le but de produire des connaissances en communs.
Documenter des projets , des initiatives existantes, sur différentes plateformes ouvertes (wiki de la FUN, CRACN, Movilab...).
Documenter des projets , des initiatives existantes, sur différentes plateformes ouvertes (wiki de la FUN, CRACN, Movilab...).
Quel en a été l'historique (origines, objectifs / intentions de départ, évolutions depuis le lancement, ...) ?
Dans les FabLab et les ateliers partagés le but est de créer un maximun de communs. On a souhaité organiser une première journée de documentation en mai 2022 pour créer un maximum de contenus et en parallèle créer un fanzine qui résumé la journée.
Quelles ont été les difficultés ou les limites observées
Difficulté de mobiliser les adhérents.
Bloquer une journée complète en semaine est peut être compliqué. La documentation reste compliqué pour de nombreux adhérents.
Bloquer une journée complète en semaine est peut être compliqué. La documentation reste compliqué pour de nombreux adhérents.
Qu'est-ce qui a marché ? Quels en sont les enseignements ? Quelles perspectives pour la suite?
Grace à l’édition du fanzine nous avons tenu la journée avec une certaine «rigeur» .
De plus le coté convivial a plu, notamment avec l’acceuil café, le repas du midi. Egalement la rencontre entre salariés et adhérents. On a bien réussi à décloisonner la documentation, du coté très geek à l'origine, à une journée conviviale, dans la bonne humeur avec aussi le Fanzine, sortir un format de doc physique en fin de journée. Ce dernier a interpellé le public et piqué leur curiosité.
La FUN espère organiser deux événements de ce genre par an.
De plus le coté convivial a plu, notamment avec l’acceuil café, le repas du midi. Egalement la rencontre entre salariés et adhérents. On a bien réussi à décloisonner la documentation, du coté très geek à l'origine, à une journée conviviale, dans la bonne humeur avec aussi le Fanzine, sortir un format de doc physique en fin de journée. Ce dernier a interpellé le public et piqué leur curiosité.
La FUN espère organiser deux événements de ce genre par an.
Auteur.ices de la fiche
Agnès Dordoigne, Sam Rocheron