Synthèse de l'échange avec Samuel Volet du GIP (fin septembre avec Romain)

Description Suite au premier temps de travail avec le groupe "Observatoire et cartographie", j'ai pris contact avec Samuel Volet, qui est la personne en charge des données et de l'OpenData SIG au GIP. Il a notamment mis en place pour la Médiation Numérique Pour Tous (dorénavant Hub - LO) le mini-site permettant de recenser l'ensemble des lieux de médiation numérique. Voici le lien : https://medrcvl.doterr.fr/dashboard

Samuel travail avant tout sur des données et, depuis 2019, un outil régional permet de cataloguer et rendre disponibles de nombreux jeux de données. Pour les rendre utilisable en dehors des seuls techniciens, un certain nombre de webservices sont disponible et c'est par exemple le cas du site mis en place pour la Médiation Numérique Pour Tous : il permet de remonter automatiquement des données existantes tout en fournissant une interface pour que des humains puissent les consulter sur une carte et les enrichir via un formulaire simple. C'est aussi un outil tableau de bord de soutien aux animateurs dans l'animation de leurs communautés locales.

De notre discussion, il est globalement ressorti :
  • qu'il n'y a pas un enjeu spécifique à utiliser en local LA cartographie mise en place par le GIP car la première question à se poser c'est "à quel besoin doit répondre la cartographie locale"
  • qu'il y a un enjeu très fort à s'assurer en revanche que si l'outil choisit n'est pas celui du GIP, la cartographie locale anticipe la possibilité d'enrichissement de la base de donnée régionale ouverte. Il s'agit alors d'identifier les champs communs, mais surtout de s'assurer que chaque service référencé contienne un identifiant unique permettant un brassage entre les données locales et les bases de données plus large. Cet identifiant unique est nécessairement le numéro SIRET : si nous souhaitons que notre cartographie soit interopérable il nous faudra collecter cette information.
  • que ce n'est pas la mission principale de Samuel de maintenir une cartographie locale, mais qu'il aura du temps de vérifier avec nous que les informations recueillies sont suffisantes dans une logique d'interopérabilité, mais également effectuer ensuite le pont technique qui permettra à nos données d'enrichir de manière dynamique la base régionale.